80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Après les " monsieur et madame ont un fils... ", les " ta mère elle est tellement que... " et les " Chuck Norris ", la nouvelle tendance de la blague à deux balles, de la race à envahir les cours de récré et les réseaux internet, s'appelle " un jour, Dieu demanda... ". Son principe est infaillible, celui du jeu de mots tiré par les cheveux, qui fait d'autant plus rire s'il est franchement et ouvertement pitoyable. Proche de la blague de bistrot et de la brève de comptoir, sa transmission se fait comme un match de ping pong, on répond à une citation d'un jour, Dieu demanda... par une autre si possible encore plus mauvaise. C'est pourquoi il était indispensable d'éditer cette somme qui recense près de 400 locutions plus navrantes les unes que les autres, histoire de ne pas trop se fatiguer à chercher la réplique qui tue.
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