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Entre 1817 et 1835, Léopold Robert et Maximilien de Meuron entretiennent une riche correspondance, miroir de leur âme et de leur pratique artistique. Si le premier deviendra l'un des peintres les plus éminents de l'Europe romantique, figure du cosmopolitisme de l'art suisse au XIXe siècle, le second assurera le rôle de mécène
resté au pays, lui dispensant conseil esthétique et moral ainsi que soutien financier. À la lumière de plus de cent lettres échangées principalement entre Neuchâtel, Paris, Rome, Florence et Venise, réunies pour la première fois dans une retranscription critique par Laurent Langer et approfondies par Pascal Griener dans un essai
liminaire, c'est une dynamique fervente qui apparaît, exemplaire d'une renommée qui s'écrit de la main et du vivant de l'artiste.
Cette publication, comprenant en outre des lettres d'Aurèle Robert, acteur majeur de la réception posthume de son frère aîné, est l'aboutissement d'un projet de recherche codirigé par l'Université de Neuchâtel et l'Institut suisse pour l'étude de l'art (SIK-ISEA).
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