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Depuis trois ans Alice, la femme de Christian Andersen, avocat au barreau de Paris, a disparu. Et depuis trois ans, les gens qui l'entourent se posent la même question : Andersen a-t-il tué sa femme ? Andersen rendu amnésique par un grave accident quelques jours après qu'Alice a disparu et qui cherche en vain à retrouver la mémoire. Andersen qui reçoit des sms énigmatiques, en forme de questions cryptées. Andersen, le mari inconsolable qui emploie un détective pour retrouver sa femme, si belle, si blonde, si étrangement semblable aux victimes du désormais célèbre Marionnettiste, le tueur aux rituels macabres que la brigade criminelle traque en vain depuis des mois et qui tue, justement, à nouveau. De quoi remettre en selle l'ex-lieutenant Diane Kellerman, révoquée pour violence et prête à péter de nouveau les plombs.
Dans un premier roman où les indices prennent la forme de charades, Morgan Audic tisse un jeu de faux-semblants, de trompe-l'oeil et de chausse-trappes aussi fascinant qu'un conte pour enfants diaboliques.
C’est le premier roman de Morgan Audric. J’avais d’abord lu De bonnes raisons de mourir pour lequel j’avais eu un coup de cœur. Il est sans doute plus abouti mais déjà, dans ce premier écrit l’auteur arrive à nous captiver.
Le sujet est original, l’intrigue bien menée, le style agréable.
Un bon polar pour l’été.
Tout d'abord merci à Mireille et les éditions Le Livre de Poche qui m'ont envoyé ce livre après un échange sur le prix des lecteurs 2024.
J'ai pu découvrir la plume de Morgan Audic avec ce premier roman.
Nous plongeons dans un jeu de dupe et de pièges, Christian Andersen, avocat au barreau de Paris est un homme inconsolable et amnésique depuis un accident de voiture qui est arrivé peu de temps après la disparition de sa femme Alice. Depuis trois ans les gens qu'il l'entoure pense qu'il est responsable de cette disparition et que c'est lui qui aurait tué Alice.
Pour prouver de son innocence, Christian engage un détective pour la retrouver, l’ex-lieutenant Diane Kellerman, révoquée pour violence et prête à péter de nouveau les plombs. Le physique d'Alice blonde aux yeux bleus et sa jeunesse laisse supposé à Diane qu'Alice serait l'une des victimes du désormais célèbre Marionnettiste, le tueur aux rituels macabres qui assassine, justement, une nouvelle fois.
Une intrigue digne d'un scénario de true crime mais aussi d'un conte de Lewis Caroll ou des frères Grimm. On retrouve un classique des Thriller avec une enquêtrice cabossé par d'ancienne affaires. Une intrigue sombre, tortueux, la toile se tisse petit à petit pour nous prendre au piège et nous tenir en haleine. Les masques derrières les personnages tombent au fur et à mesure.
Coupable idéale, Soupçon, Serial Killer, Fausse pistes. La tension monte crescendo jusqu'au dernières pages.
Une course effréné pour la vérité, du suspense et des rebondissements.
"J'ai déjà donné la liste des vêtements qu'elle portait le jour de sa disparition, répondit-il. Je ne vois pas ce que je pourrais dire de plus.
- Si elle avait une alliance par exemple ?
Andersen fit tourner la sienne sur son annulaire.
- Bien sûr. Pourquoi l'aurait-elle retirée ?"
"Une odeur de vieux papier flottait chez Oscar Duclair et l’air était sec. Dans toutes les pièces, des piles de journaux et de magazines montaient à hauteur d’homme. Celles près de l?entrée étaient composées d'anciens numéros du Détective français. Mourir pour dix euros. Poignardé pour un téléphone. Le pédophile de la crèche municipale. Les titres se disputaient la palme du sordide."
L'intrigue nous tient presque jusqu'à la fin. Polar qui se lit rapidement et de manière plutôt agréable. J'ai trouvé le mobile des meurtres un peu tirer par les cheveux, et puis, il y a, comme le titre l'indique, trop de morts. A lire quand même ! Il s'agit d'un premier roman et il faut encourager l'auteur. PS : Merci aux Editions du Rouergue de corriger les coquilles.
Un premier roman plutôt prometteur, l'auteur faisant preuve d'un savoir-faire indéniable appuyé sur de bonnes idées, et une mise en situation habile et mystérieuse tout au long de la première partie.
Dommage que la seconde partie soit gâchée par une véritable avalanche de rebondissements à la Harlan Coben - souvent assez peu vraisemblables d'ailleurs - qui perdent en plus de leur intérêt et de leur impact à cause de personnages assez peu développés.
Un problème de surdosage qui, je l'espère, sera réglé pour les prochains romans de Morgan Audic.
Quel premier roman réussi ! L’auteur maîtrise déjà tous les codes du genre (y compris la fin qui s’étire en longueur pour faire durer le suspens).
L’intrigue est alambiquée au possible, pleine de chausse-trapes, sans pour autant perdre le lecteur.
Les coupables restent mystérieux jusqu’à la fin, et pourtant plausibles.
Je me suis régalée !
L’image que je retiendrai :
Celle de la photo d’Alice enfant prise dans un pays de l’ex-Europe de l’est. Longtemps, j’ai cru que cette photo serait cruciale pour la suite de l’intrigue.
http://alexmotamots.fr/?p=1941
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