80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Les manuscrits des traducteurs ou des autotraducteurs mettent à nu leur travail, fait de libertés et de contraintes, d'hésitations et de choix. Le choix marque le début et la fin de la liberté du traducteur et de sa créativité : d'une part la fin de la liberté infinie de ce moment d'indécision qui le précède permettant toute ouverture, d'autre part la fermeture d'un éventail de possibilités en une seule. Mais le choix est aussi l'espace même de la créativité et de la liberté en jeu dans toute traduction. C'est à partir de ces présupposés, la traduction comme processus et la traduction comme liberté (sous contrainte, mais laquelle ne l'est pas ?), que j'ai réuni les articles de ce volume divisé en trois parties : une première partie éthique, ou politique, une deuxième esthétique, ou prosodique, et une troisième « subversive ».
Trois espaces de liberté où le traducteur peut donner libre cours à sa créativité.
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