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Toxicité rénale du traitement antirétroviral en Afrique sub-saharienne

Couverture du livre « Toxicité rénale du traitement antirétroviral en Afrique sub-saharienne » de Martin Herbas Ekat aux éditions Editions Universitaires Europeennes
Résumé:

Chez les africains infectés par le VIH, un risque significativement élevé d'insuffisance rénale a été noté chez leur descendant afro-américain, et lorsqu'ils se présentent au moment du diagnostic de leur statut, ont un poids corporel substantiellement bas. Avec l'introduction des néphrotoxiques... Voir plus

Chez les africains infectés par le VIH, un risque significativement élevé d'insuffisance rénale a été noté chez leur descendant afro-américain, et lorsqu'ils se présentent au moment du diagnostic de leur statut, ont un poids corporel substantiellement bas. Avec l'introduction des néphrotoxiques comme le ténofovir dans les lignes directrices de prise en charge de l'infection à VIH, dans les pays africains, impulsé par l'Organisation Mondiale de la Santé. Il était donc important, pour nous, d'évaluer l'incidence et les facteurs associés à la néphrotoxicité après initiation du traitement antirétroviral chez les patients infectés par le VIH avec un faible indice de masse corporelle(IMC < 18,5 kg/m2) suivi au Centre de Traitement Ambulatoire de Brazzaville, Congo. Le Débit de filtration Glomérulaire (DFG) a été évalué avec l'équation de Modification of Diet in Renal Disease (MDRD). La néphrotoxicité a été retrouvé chez 110 patients (33,85%) soit une incidence de 27,95 pour 100 personne-année. Les patients avec un DFG-MDRD < ou = à 59, compris entre 60-80 ml/min/1,73m2 et le protocole ARV initial contenant le ténofovir appartiennent au groupe à risque.

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