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Un maître du compte à rebours.
People Washington est en état de choc en apprenant qu'un tueur fou vient de tirer à l'aveugle dans une station de métro. Bilan : des dizaines de morts. Une lettre arrive bientôt sur le bureau du maire, lui annonçant que l'assassin, surnommé le Digger, sèmera la terreur si une rançon de 20 millions de dollars n'est par remise à un complice. Mais ce dernier est tué accidentellement alors qu'il va récupérer l'argent.
Sans autre indice que la demande de rançon, l'agent Margaret Lukas fait appel à Parker Kincaid, ancien agent du FBI spécialisé dans l'analyse graphologique. Ils ont une journée pour retrouver le Digger, implacable machine à tuer qui frappe toutes les quatre heures au coeur de la ville, où se déroulent les festivités du nouvel an.
Jeffery Deaver a été journaliste puis avocat avant de connaître le succès avec Dix-Huit Heures pour mourir (Calmann-Lévy, 1996). Son best-seller Bone Collector (Le Désosseur, Calmann-Lévy, 1998), vient d'être adapté au cinéma par Philip Noyce, le réalisateur de Danger immédiat, avec dans les rôles principaux Denzel Washington et Angelina Jolie.
A propos de Bone Collector :Le meilleur suspense depuis Le Silence des agneaux. Le Point
La plupart des thrillers de Jeffery Deaver commencent comme un épisode des Experts. Dans ce cas-ci, les Experts – Washington. Dès le premier chapitre, nous sommes jetés dans l’action des premières actions meurtrières d’un homme … clic … psycho … clic … tique. Et ce surnom : le Digger. Il est le bras armé d’un cerveau tapi dans l’ombre. Mais que fait un bras armé quand il n’a plus d’impulsions du cerveau ? Voilà le pitch de ce haletant suspense dans lequel j’ai plongé, tête baissée. Même si le héros n’est pas l’habituel Lincoln Rhyme, un inspecteur devenu paraplégique à la suite d'un accident, (mais il intervient lors d’un échange téléphonique), Parker Kincaid, spécialisé en documents anciens et en graphologie, est tout aussi attachant. Chef d’une famille monoparentale, il a quitté le FBI pour protéger ses enfants. Et le voilà réquisitionné pour identifier le Digger…
Ce qui est frappant dans les romans de Jeffery Deaver, comme par ailleurs dans ceux de Stephen King, c’est son utilisation d’éléments de la culture populaire américaine pour faciliter l’identification du lecteur avec les différents protagonistes de l’enquête. Donc au fil des pages, nous avons des citations de films (Star Wars), de la littérature enfantine (Docteur Seuss et les Who), de paroles de chansons, de références historiques (surtout Thomas Jefferson). Et puis il y a toujours chez cet auteur une volonté de faire « pédagogique » et de consacrer plusieurs pages aux différentes qualités d’encre, de plume, de papier, de vélin, de documents, de filigranes. Le tout est émaillé de différents cas plus ou moins véridiques de faux documents, des lettres de Marylin à JFK au tristement célèbre journal intime d’Hitler. Ce qui rend la lecture encore plus passionnante. Même si les derniers chapitres, peu vraisemblables, sont là pour retourner le lecteur comme une crêpe…
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