Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Théâtre des cavernes et des coins de rue
Joséphine :
- En invoquant Aristote, les nobles disaient que la tragédie doit exprimer la pitié et la terreur ou au moins la crainte, la pitié par intérêt pour le personnage et la crainte de ne pas avoir à subir soi-même un sort semblable.
Sumiko :
- La pitié et la crainte, comme c'est bizarre, sont aussi les moteurs de la soumission des fidèles dans les religions révélées !
Joséphine :
- Ce n'est que la prodigieuse catharsis des anciens, la purge des passions !
Zoria :
- Purger la crainte et la pitié par? la crainte et la pitié, ça s'appelle guérir le mal par le mal, un remède de sorcière !
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"