Dans un monde où règne l'Ordre, aucune âme ne peut échapper à la surveillance des Inspecteurs. Mais, Iris n'a pas d'âme... Elle doit donc vivre recluse et se cacher.
Car Iris pourrait bien constituer une menace pour l'ordre établi... et l'espoir d'un monde meilleurs.
À Providence, la dictature de l'Ordre est totale. L'âme de chaque citoyen est scrutée, contrôlée. Et gare à celles qui s'écartent du droit chemin : elles sont aussitôt reprogrammées.
Iris, elle, ne possède pas d'âme. Elle est vide. Si cela lui permet d'échapper à la vigilance des Inspecteurs, cela l'empêche également d'éprouver des sentiments et de se souvenir de son passé.
Pourtant, au contact d'un bijou, son Étincelle, l'une des cinq composantes de son âme, se réveille. Des sentiments qu'elle pensait ne jamais éprouver surgissent. Qui a volé l'âme d'Iris ? Pour le savoir, elle devra s'approcher au plus près des secrets du pouvoir.
Désormais traquée par l'Ordre, parviendra-t-elle à rassembler les pièces manquantes de son identité ?
Une belle découverte avec une dystopie au coeur d'un gouvernement totalitariste scrutant les âmes, l'une des citoyenne Iris va se faire voler la sienne.
Une intrigue tout s'enchaine, le final du tome est trop rapide, les personnages D'Iris et Evander sont attachants. Beaucoup d'émotions et de rebondissements. Une intrigue entre 1984 et Divergente, Rébellion, Âmes, Pouvoir, Dictature, Fantasy.
Une ambiance sombre, la peur, la quête de soi, la plume est fluide et inclusive.
"Si tu veux mettre le feu au monde, une simple étincelle suffit. Une braise minuscule peut réduire une cité entière en cendres et consumer même le plus formidable des empires."
"Je la vis danser avec moi, me chatouiller, me chanter des berceuses en me bordant dans mon lit. Je me souvins des fleurs sauvages dans son jardin, de ses piles de livres, de sa timidité et de son humour sarcastique. Du regard d'avertissement qu'elle me jetait quand j'étais insolente, du tremblement dans sa voix quand elle me suppliait d'être prudente, des plis au coin de ses yeux qui s'accentuaient un peu plus à chacune de mes rébellions. Je humai l'odeur de brûlé de sa cuisine, car elle oubliait toujours sur le feu les plats qu'elle préparait...
L'avoir perdue était une souffrance plus vive que tout ce que j'avais connu, un gouffre hurlant qui me déchiquetait de ses crocs acérés."
Retrouvez d'autres chroniques sur mon blog : https://lesfantasydamanda.wordpress.com
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The Girl with no soul, c'est un postulat de départ auquel j'ai adhéré dès la lecture du synopsis. Les premiers chapitres m'ont enchantée : le worldbuilding était intéressant et l'héroïne, sans âme, captivante.
Toutefois, même si j'ai continué à tourner les pages sans éprouver de difficulté, je me suis vite rendue à l'évidence : l'intrigue ne serait jamais approfondie. Ni complot politique, ni rébellion ne m'emporteraient ! Morgan Owen a préféré offrir une place centrale à la romance, un choix que je n'approuve décidément pas...
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