Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Portée par un vent favorable, la photographie « anonyme » n'a pas fini de révéler ses infimes trésors : sourires dérobés, flous énigmatiques, burlesque involontaire, familles et amis qui se dévoilent à demi-mot, petits ou grands moments, tragédies muettes, silences complices. Mais surtout, son statut léger mais non négligeable de document, son absence à peu près totale d'ambition et de prétention en font, dans le panorama complexe de la photographie actuelle, une source d'oxygène appréciable, salutaire, incongrue. Et à peu près inépuisable. (Emmanuel d'Autreppe, dans Avoir un bon copain, collection Véronique Marit, Yellow Now, 2013.) Terribles Enfants dévoile une sélection de photographies de l'impressionnante collection privée de Véronique Marit. Composée d'images glanées et chinées, cette collection est dédiée aux photographies trouvées (albums de famille, photographies anonymes, photos d'amateurs.) prises entre la fin du XIXe siècle et les années 60. Parmi ces images « de l'ordinaire » figurent des photos d'enfants espiègles ou fripons ; frondeurs, rêveurs ou boudeurs ; à vélo, en auto ou en landau [voire à cheval] ; sur le pot ou dans le bain ; à la mer ou au jardin. C'est à eux qu'est dédié cet ouvrage.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"