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Elles sont les spécificités de la régulation française des risques nucléaires ? Comment les experts contribuent-ils à la sûreté des installations nucléaires ? C'est à ces questions que cet ouvrage apporte des réponses. Issues d'une recherche réalisée en partenariat avec l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), les thèses qui y sont défendues s'appuient sur un examen des pratiques des spécialistes des facteurs humains de la sûreté nucléaire. L'auteur montre que la régulation française de la sûreté nucléaire repose sur le maintien d'un dialogue technique approfondi entre l'Autorité de sûreté nucléaire, l'IRSN et les exploitants. Ce mode de gestion des risques est surnommé " French cooking " par les Anglo-Saxons, adeptes, eux, d'une approche réglementaire plus formelle, davantage lisible par la société civile. Ce dialogue technique n'est pourtant pas sans qualités, notamment dans le domaine des facteurs humains et organisationnels, où il permet de faire progresser l'état des savoirs, qui demeure lacunaire. À l'heure d'une renaissance du nucléaire et face à des velléités de normalisation européennes et mondiales susceptibles de conduire à un alignement sur le modèle anglo-saxon, le " French cooking " pourrait ainsi retrouver ses lettres de noblesse. Par l'originalité des données recueillies (trois expertises sont intégralement restituées), ce travail intéressera bien sûr les étudiants, enseignants-chercheurs et professionnels de la gestion des risques, mais aussi les citoyens désireux de connaître les rouages de la sûreté nucléaire.
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