Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
«Si étrange que cela puisse paraître, je n'ai pas giflé ma mère, je n'ai pas craché à la figure de mon père, quand j'ai appris la chose. Peut-être était-il déjà trop tard, déjà depuis des années je méprisais mes parents, leur mesquinerie, leur hypocrisie, leur côté bourgeois, le pire, celui des parvenus. Mon grand-père, lui, n'était pas un bourgeois, c'était un artiste. Je regrette que tu ne l'aies pas connu, ainsi va la vie, ainsi va la mort.»On retrouve, dans ces nouvelles, le goût de Constance Delaunay pour une narration apparemment désinvolte, en tout cas ironique et mordante envers ses personnages, souvent des narratrices. Dans la haine longtemps étouffée pour l'autre, se joue sur un mode mineur «ainsi va la vie, ainsi va la mort» et dans des circonstances «romanesques», quelque chose d'infime et d'essentiel.
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