Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
Voici une oeuvre un peu artistique - sur les bords... qui, de bâbord à tribord, vous berce «comme les sanglots longs des violons»... cependant: pas d'une «langueur monotone»... mais plutôt à la manière d'un Bratch ou d'un Yoska Nemeth... et vous emmène sur les chemins de la tragédie humaine... et là encore: pas celle d'une pseudo-humanité (qui confond les petits problèmes anodins du quotidien avec le drame humain)... mais celle d'une humanité réelle, conviviale et joyeuse, désirant vivre par-dessus tout et plus que tout... et qui se retrouve parfois sinon souvent au plus bas (à en croire le violon tszigane...), et à en devoir chanter et danser, même sous la pluie - pour seulement avoir encore la foi en l'avenir et en cette vie-là... et : pour continuer à vivre, à avancer et à marcher... (!):-)
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