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Une grande partie du patrimoine africain a été arraché aux peuples d'Afrique pour se retrouver tantôt dans des musées, tantôt chez de riches collectionneurs, privant ainsi les Africains de la possibilité de connaître et de tirer profit d'une part substantielle de leur culture.
Le désir de voir ces oeuvres retrouver les terres africaines coïncide avec le besoin, de plus en plus exprimé par la nouvelle génération, de retrouver ses racines, son passé, pour mieux se porter dans le présent et se projeter dans le futur.
La restitution des oeuvres répond donc à un besoin presque vital : une recherche de sa propre identité. On n'imagine plus les progrès futurs de tout un continent sans une solution réparatrice à cette question. Ainsi, la restitution, en plus d'être un acte réparateur serait aussi un acte de justice et de solidarité à caractère universel.
Le chemin de la restitution des oeuvres aux Africains est parsemé d'embûches. Aussi, de façon pragmatique, l'auteur aide et encourage l'Occident et l'Afrique à persévérer dans la recherche de solutions innovantes.
Sur un chemin, on est obligé de marcher au lieu de courir, ces moments de marche sont propices pour méditer, pour rêver, rêver à un monde plus égalitaire, un monde où l'homme saura donner et partager et recevoir.
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