"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Splendeurs et misères des courtisanes commence là où Les illusions perdues se termine. Lucien de Rubempré, grâce au soutien du mystérieux abbé Carlos Herrera, revient triomphalement dans la capitale française. Eugène de Rastignac, la comtesse de Sérisy et la duchesse de Maufrigneuse en font leur protégé. Il est même question d'un mariage avec la fille de la duchesse de Grandlieu.
La mort d'Esther fait s'écrouler ce château de cartes. Il apparaît que cette courtisane se prostituait et soutirait des fortunes au baron de Nucingen pour les distribuer à son amoureux Lucien.
Au centre de ce mélodrame, le personnage sombre et manipulateur de l'abbé Herrera, alias Vautrin, alias Collin.
Une description magistrale des Paris du début du XIXe siècle, ceux de l'aristocratie, du demi-monde et du peuple, qui reste un des plus grands romans de Balzac.
Une édition en grands caractères pour une lecture plus facile, en deux tomes.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !