Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
C'est en 1986, peu de temps après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, que paraissait en Allemagne La Société du risque. Livre pionnier, traduit en plusieurs langues, sa publication en français intervint au lendemain des attentats du 11 septembre 2001 et de l'explosion d'une usine chimique à Toulouse. Alors que l'on s'interroge plus que jamais sur le «risque zéro», l'assurance, la responsabilité et la prévention, l'ouvrage d'Ulrich Beck fournit des clés pour penser ce que l'auteur diagnostique comme un véritable changement de société.
Car si nous ne vivons pas dans un monde plus dangereux qu'auparavant, le risque est désormais beaucoup plus qu'une menace: il est devenu la mesure de notre action. À une logique de la répartition des richesses a succédé une logique de la répartition des risques: contrainte dès lors de poser continuellement la question de ses propres fondements, la «société du risque» fait de l'avenir la question du présent.
Traduit de l'allemand par Laure Bernardi
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