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Les typologies des Smart Cities sont multiples : tantôt, ce sont des villes nouvelles entièrement régulées par le numérique, tantôt, des formes plus éclatées, qui créent de nouvelles formes d'urbanité numérique ou favorisent une expansion de celle-ci dans les territoires ruraux. Une promesse de progrès (social, économique, écologique, etc.) se trouve toujours à la clé.
Qu'en est-il réellement ? Les villes dites "smart" construisent des réseaux d'activités qui soutiennent de nouvelles formes d'entreprises et organisations, indéniablement, et le numérique occupe une place centrale dans l'ordre des moyens. Ce maillage d'activités est à l'échelle de la globalisation des échanges, tout en étant inscrit dans les territoires; il est marqué par une relation différente au temps et à l'espace, dont les moyens de communication sont des relais d'innovation (média sociaux, etc.). Mais il y a loin de la promesse à la réalité. Les cas abordés dans ce recueil montrent que les systèmes d'information sont moins évidents à utiliser ou à mettre en oeuvre que dans les slogans. Les métiers évoluent, les territoires se transforment, mais le résultat reste, au mieux, ambigu en termes de progrès.
Les articles de ce volume ont l'ambition d'observer la transformation des organisations classiques ou leurs formes émergentes pour dresser un état des lieux de cette "intelligence" à l'oeuvre dans les territoires.
Ce 11e volume de la revue MTO "Smart Cities : vers de nouvelles organisations ?" est publié avec le soutien financier de la Région Occitanie.
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