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Ce recueil de Fabien Abrassart a été écrit après un voyage à Jerusalem et à Auschwitz laisse entendre le préfacier, qui précise : Les poèmes, "denses", « gravitent autour de ce point de non retour dans l'humain » que furent les catastrophes du 20ème siècle. Être humain cela s'oublie vite, le poète est là pour nous rappeler que nous le sommes toujours, humains, que l'homme n'est jamais loin et qu'il ne faut pas le laisser s'atténuer, s'effacer, disparaître. Le poète l'écrit avec une rage non contenue, par de petites historiettes, et même une « chansonnette » :
« dans le visage un trou d'obus entre deux tasses de café qui mène à mort les étrangers revient toujours la haine au cul » car, « s'il n'émeut le salaud à quoi bon le poète ».
Avec ses peintures, Marie Alloy nous donne une raison de plus de croire que la mémoire aussi sombre soit-elle recèle bien cet humain qui ne nous quitte jamais.
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