80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Si je perds mon crayon, je perds mon âme reflète l'instant où l'on peut rêver sans coups férir, sans se cacher, en se laissant aller à mille choses. « Le stylo et le papier buvard » y sont de mise. « Guitare, guitaré », ressuscite ma vie et je retrouve ma musique sur un air dansant. « Maxillililili », le rouge-gorge est revenu nous voir et le merle noir est un grand coquin.
Qui a suivi ma vie sans teint, saura que je pense que la vie est ce qu'elle est, mais qu'on peut la changer à tout moment. Pas d'hypocrisie et tout sera pour le mieux. Claire comme l'eau de roche.
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