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Un beau soir d'octobre à New York. Privatisé à l'occasion d'un gala, le musée Guggenheim accueille 702 convives, la plupart membres des élites du pays. Une explosion les tue tous, sans discrimination.
Un attentat d'une telle précision ne saurait être le fruit du hasard et le FBI est immédiatement débordé par le nombre extravagant des victimes, des profils à comparer, des dossiers à recouper. Il fait appel à Lucas Page, un ancien agent pour l'heure astrophysicien et professeur d'université. Atteint d'une forme du syndrome d'Asperger, il est capable de " lire " la scène d'un crime comme s'il y avait assisté, de compulser des données d'un seul coup d'oeil. Lui seul semble à même d'arrêter le serial bomber avant qu'il ne frappe encore.
Une nouvelle enquête de Lucas Page, le génial héros de Robert Pobi, qui a fait une irruption remarquée dans le monde du thriller avec City of windows.
Après le temps des snipers (City of Windows), voici maintenant New York ravagé par différentes explosions dont la première se déroule au musée Guggenheim faisant plus de 700 victimes (sans parler des précieuses oeuvres d'art détruites), alors que la société Horizon Dynamics l'avait privatisé pour une levée de fonds auprès de riches investisseurs.
Comme dans le précédent épisode, l'agent spécial du FBI Brett Kehoe réclame rapidement l'assistance du professeur Lucas Page pour l'aider à trouver une piste et tenter de stopper les terroristes dans leurs actions criminelles. Lucas, après son accident qui l'a frappé et dont il a de peu réchappé, remplaçant bon nombre de ses organes de locomotion par des prothèses, est doué de visions fulgurantes qui transforment tout espace en données mathématiques. Un pouvoir bien pratique pour comprendre le processus comme les matériaux qui ont servi aux artificiers pour commettre leur forfait ; comme si Lucas revoyait la scène en détail après qu'elle se soit déroulée.
Il rempile donc pour une nouvelle enquête, qui va l'éloigner de sa nombreuse famille pour un
moment et lui faire côtoyer une nouvelle fois sa partenaire, l'agente Alice Whitaker, une femme de couleur au caractère bien trempé .
La société qui a été frappée appartenait aux frères Hockney, deux multimilliardaires possédant bon nombre de sociétés à travers le monde. Mais est-ce la bonne piste alors que le temps presse , de nouvelles bombes n'allant pas tarder à faire de nouveaux dégâts matériels et humains ?
Même si le récit m'a semblé moins détonnant ( quel paradoxe !) que le précédent car étant sans
doute moins surpris par le comportement des principaux personnages comme par l'humour un brin décalé du professeur Page, il n'en reste pas moins l'efficacité du style de l'auteur qui laisse peu de temps à ses protagonistes comme à ses lecteurs pour souffler.
Les explosions s'enchaînent comme cette course technologique sans fin montrée du doigt par les
instigateurs des attentats ou leur servant d'alibi (en tout cas faisant partie de leurs revendications). On n'est pas loin de penser que l'auteur est du même avis, compte tenu des nombreuses remarques acerbes à ce sujet. Il n'est d'ailleurs pas le seul…
L'auteur parvient sans aucun problème à conserver le suspens intégral jusqu'au bout, quitte à glisser aux enquêteurs comme aux lecteurs de son roman quelques belles fausses pistes dont il a le secret .
Un roman qu'il est très difficile de lâcher une fois tournée la première page et qui ravira sans aucun doute les amateurs de sensations fortes
a new york, une bombe explose lors d une soiree de gala au musee gugenheim. Plus de 700 personnes perdent leur vie dans une explosion sophistiquée
le boss du FBI sollicite l aide de l ex agent licas page. Ce professeur d université avait pourtant juré de ne plus retoruner dans la grande maison , apres qu une precedente operation ait laissé la moitié de son corps en charpie
Unne question l obsede: a qui profite le crime? Grand retour en force de robert Pobi , un an apres City ow windows . Dans un nouveau récit haletant , l auteur dzingue a boulets rouges l univers de wall street et tire aussi sur les dérives des réseaux sociaux
un thriller haletant , drole , pertinent qui se dévore
City of Windows du même auteur avait été un coup de cœur pour moi. C’est dire si j’attendais ces retrouvailles avec Lucas Page, un anti-héros original, avec impatience.
Quelle déception… Je ne parviens même pas à aller au bout de ma lecture !
Ça commence pourtant pas mal, une explosion, une intrigue…. Puis cette scène initiale qui se répète, d’autres explosions… une intrigue qui se perd, se noie… Un Lucas Page qui va d’un lieu de dévastation à un autre… sans faire avancer l’enquête d’un pouce, la défiance de ses collègues est redondante elle aussi.
Rien ne me donne envie de tourner les pages… Je n’ai pas retrouvé le charme de City of Windows et c’est pour moi une grosse désillusion !
Merci à Babelio et les éditions Les Arènes pour cette lecture dans le cadre de la masse critique.
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