Aucun résumé n'est disponible pour cet ouvrage actuellement...
Horreur sous terre... ou pas.
Sirac. Bérain est une luciole, il est celui que l'on envoi dès la découverte de tombeaux. En effet, tous sont protégés par des glyphes qu'il faut absolument désactiver. Ils sont appelés glyphes d'effroi car si vous les regardez vous sentez la peur vous envahir.
Un jour, un homme de main vient le chercher car un tombeau important à été découvert.
S'en suivra un chemin chaotique où tout le monde n'en sortira pas indemne et où Bérain remettra en question son métier, mais aussi l'organisation qui l'emploi et le bien fondé de leur mission.
Bon je ne vais pas y aller par 4 chemin, ce roman n’était clairement pas pour moi. En effet ici nous avons plus affaire avec un roman géo-politique entouré par une aura magique mortelle. Je m'attendais à un récit fantasy/fantastique/horreur avec une aventure hors du commun or je me retrouve avec un récit autour de l'archéologie, de la politique et surtout bourré de longueurs.
Nous sommes dans un récit contemplatif sans réelle action de la part des personnages.
Je me demande encore où se trouve l'horreur de ce roman, je n'ai pas ressenti de tension ni de rythme soutenu.
Notre perso est envoyé dans les sites antiques pour découvrir qui est enterré en bas mais il doit faire avec des glyphes pour éviter que les morts ne leur transmette la peur. J'ai plutôt bien aimé le type de magie exploré ici, à savoir, la peur et la mort dans les glyphes malheureusement celle-ci n'est pas exploitée à fond et surtout n'est pas très bien expliquée.
Le background de ce roman est très bien fourni, voir même de trop, l'auteur nous explique le contexte géopolitique de son univers mais le souci c'est qu'il le noie sous les longueurs à n'en plus finir tout cela au risque de perdre le lecteur.
Le moment où Bérain descends dans la nécropole tout juste découverte aurait dû me transportée avec lui, malheureusement je suis restée à l'entrée.
La plume de l'auteur est certes descriptive à souhait, pose bien les bases mais le souci est que je l'ai trouvé trop lourde pour moi avec beaucoup de vocabulaire soutenu qui fait que je décrochais souvent de ma lecture. Les longueurs ont aussi terni ma lecture, ici très peu de dialogues qui n'ont pas fait avancer grandement l'intrigue.
Encore un point noir, le roman est divisé en 3 parties et non pas en chapitres ce qui alourdit encore plus notre lecture.
Alors je ne critique pas le travail de l'auteur, loin de là, il faut beaucoup de travail et d'imagination pour en arriver à un roman aussi complexe et pour cela je lui tire mon chapeau.
En bref, un roman qui n'était clairement pas fait pour moi.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
Le jury et les internautes récompensent ce roman publié aux éditions l’Arpenteur
