"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Entre 78 av.
J.-C. et 18 apr. J.-C., au siècle de César et d'Auguste, le plus troublé de la République et le plus prestigieux de l'Empire, se concentrent les plus grands poètes latins : Lucrèce (-981-55), Catulle (-821-52), Virgile (-701-19), Horace (-651-8), Tibulle (-501-19), Properce (-471-15), Ovide (-43117). Que dire de l'amour dans cet univers où il ne fait qu'un avec jeunesse et beauté ? Que l'émoi amoureux entretient des liens étroits avec la culture et la société, mystérieux avec l'écriture, plus ou moins élastiques avec les modes et les conventions littéraires.
L'important pour nous, après deux millénaires, est qu'on écrit l'amour parce qu'on aime, qu'on aime encore parce qu'on l'écrit, et qu'on l'écrit encore parce qu'on se souvient d'avoir aimé naguère. Au lecteur, s'il a quelque idée sur notre conception moderne de l'amour, de voir la part de celle-ci dans l'héritage latin.
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