80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Dans les années 1950-1960 tout le peuple sénégalais s'enfiévrait sur les rythmes afro-cubains de la salsa. C'était l'époque où, avec l'indépendance, le pays abordait l'avenir avec confiance. Dakar était le centre du métissage culturel africain avec le Festival des Arts Nègres. Les salséros tels que Pape Seck, Maguette Ndiaye, Lynx Tall, Amara Touré, Mady Konaté, Labba Sosseh.étaient au fait de leur art. Les années ont passé, la confiance en l'avenir s'est amoindrie, les lieux mythiques n'existent plus, les plus grands musiciens ont disparu. Au fil des documents d'archives, les artistes sénégalais évoquent avec nostalgie ces années salsa.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année