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En mars 1900, alors qu'elle attend d'entrer en scène, costumée en homme, pour la première de « L'Aiglon », Sarah Bernhardt se souvient d'événements de son enfance, un rôle d'ange et la rencontre d'un militaire, qui ont suscité sa vocation de tragédienne et son envie de rôles masculins, son destin de garçon manqué.
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Tout d’abord, merci à l’équipe de Lecteurs.com de m’avoir envoyé ce roman dans le cadre des Explo’Book !
Malheureusement, c’est pour moi une déception. Ce petit roman raconte surtout l’enfance de Sarah Bernhardt, qu’elle se rappelle juste avant de monter sur scène pour la première de L’Aiglon.
Pendant ma lecture, je me suis mise à la place d’un enfant d’une dizaine d’années. Le texte est facile à lire et les chapitres sont courts et ponctués d’illustrations, ce qui rend la lecture confortable. Le procédé du souvenir raconté par Sarah Bernhardt adulte est bien trouvé, même si cela rend les hypothèses sur son avenir de tragédienne un peu trop faciles à mon goût.
De plus, on en apprend trop peu sur Sarah Bernhardt, j’en ai plus appris dans l’épilogue que dans le reste du texte. Je pense que certains enfants auraient aussi mieux appréciés une autobiograpie chronologique qui serait restée ludique et pédagogique.
Je finis en vous invitant tout de même à vous faire votre propre avis sur ce petit roman jeunesse. Quant à moi, je ne esterai pas sur cette seule expérience et lirai au moins un autre ouvrage de la collection.
J'ai reçu ce roman jeunesse dans le cadre des Explobook !
C'est un genre de roman que je ne suis pas du tout habituée à lire, mais je dois dire que j'ai été surprise positivement ! Malgré le côté romancé du roman on apprend de nombreuses choses sur cette comédienne, notamment sur son enfance. Après, je ne suis pas certaine que les jeunes d'une dizaine d'année s'intéressent particulièrement à ce personnage historique, mais disons que ce roman est un bon moyen pour acquérir des connaissances !
Je trouve le concept très intéressant et plutôt prometteur !
Je tiens à remercier Orange lecteurs.com et les éditions Leduc Jeunesse de m’avoir permis de découvrir ce roman jeunesse « Sarah Bernhardt, le garçon manqué ».
La grande Sarah Bernhardt (1844 – 1923), celle qu’on surnommait « la divine indomptable », grande tragédienne française du XIXè siècle, est à l’honneur. Encore un destin extraordinaire que nous présente les éditions Leduc Jeunesse et c’est l’auteur du best-seller « Effroyables jardins » Michel Quint qui nous raconte. Alors qu’elle s’apprête à monter sur scène pour jouer « L’Aiglon » (fils de Napoléon Ier) de Jean Rostand, Sarah Bernhardt se souvient. Elle est alors pensionnaire au couvent des Grand-Champs à Versailles, tandis que sa mère, une mondaine parisienne multiplie les amants, dans le tourbillon de la vie parisienne. C’est une de ses enseignantes qui lui fera découvrit les auteurs classiques et le théâtre. Dans cet environnement peu propice au sixième art, elle s’essaiera à la comédie, à la mise en scène et à la direction d’acteurs sous le regard ébahi de ses petites copines. Sarah est une jeune fille volontaire, au caractère bien trempé, un peu garçon manqué sur les bords.
Un petit roman bien écrit, qui pourra envie aux jeunes lecteurs d’en savoir un peu plus sur cette grande comédienne. Je n’ai moi-même jamais lu de biographie de cette dernière et cette lecture m’a donné envie d’en savoir un peu plus sur cette grande dame. Je connaissais d’elle un portrait fait par Colette qui excellait dans l’art du portrait. Je vous laisse un court extrait, l’actrice était vieillissante alors
» (…) Je consigne ici, avec respect, une des dernières attitudes de la tragédienne tantôt octogénaire: main délicate et fanée offrant la tasse pleine, azur floral des yeux, si jeune dans un lacis de rides, coquetterie interrogative et riante de la tête inclinée, et ce souci irréductible de plaire, de plaire encore, de plaire jusqu’aux portes de la mort »
Avec Destins extraordinaires, les édition LeDuc. S jeunesse font écrire par de grands romanciers renommés le destin de personnages célèbres, ou le ou les moments où leur destin bascule vers ce qui deviendra leur futur, leur raison d’être.
Dans Sarah Bernhardt, le garçon manqué c'est les souvenirs et l'évocation de son destin par la grande Sarah Bernhardt au moment où elle entre en scène, pour jouer l’Aiglon.
Avec des illustration de David pillet, ces destins extraordinaires sont un très bon moment de lecture, racontant des anecdotes et des faits ayant pour la plupart réellement existé.
Autre point intéressant, les notes de bas de page pour expliquer des mots, des expressions, pour une meilleure compréhension du texte par le jeune public auquel ces destins extraordinaires sont destinés.
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Chouettes ces destins extraordinaires!