80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
L'histoire de Sao Van Di, jeune Laotienne, est à la fois un hymne à l'amour entre une jeune fille (pou sao) et son prétendant (pou bao), et une sorte d'apologie de la «vie simple» du peuple lao, telle que l'avait perçue Jean Ajalbert au début du 20e siècle, à l'aube de la colonisation.
L'auteur dépeint, avec empathie et d'une façon très poétique, la mentalité lao caractérisée par une passion immodérée pour la fête et l'amour. Cette ferveur est toutefois profondément marquée par le bouddhisme et la croyance en des esprits. La vie quotidienne se déroule ainsi au rythme des boun, qui sont les célébrations et fêtes au cours desquelles les pou bao et les pou sao échangent, accompagnés du son mélodieux du khène, des couplets alternés et généralement improvisés pour se déclarer leur amour.
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