"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
À son retour d'Italie en 1821, Stendhal, déjà auteur de quelques ouvrages sur l'art, la musique et l'Italie, est tenté par le journalisme. Il rend régulièrement compte de la vie artistique à Paris pour différentes revues anglaises, et pour quelques revues parisiennes. C'est dans ces circonstances qu'il rédige des Salons portant sur les expositions annuelles tenues au Louvre en 1822, 1824 et 1827. Intéressé par l'art dès l'Empire, bon connaisseur de la peinture italienne, rompu aux nouvelles théories esthétiques, Stendhal cherche à retrouver dans la peinture de la Restauration ce «beau idéal moderne» qu'il évoque dès 1817 à propos de la peinture italienne. Manifeste pour une «révolution dans les beaux-arts», les Salons sont à la peinture ce que sont à la littérature les deux versions de Racine et Shakespeare.
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