"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Mère célibataire en charge de deux adolescentes, Johanna lutte pour joindre les deux bouts, tandis que son ex-mari, Calle - dont elle est un peu jalouse -, a refait sa vie loin d'elles.
Il a quitté sa petite ville pour s'installer à Stockholm avec sa nouvelle petite amie -la très sophistiquée et cultivée Fanny - et commencer une carrière couronnée de succès. Johanna s'inquiète pour ses filles, dont la plus jeune, qui est le souffre-douleur du collège, et plus elle tente de l'aider, plus elle aggrave le cas de l'adolescente. Pour ne rien arranger, un patient se suicide dans le centre pour toxicomanes dans lequel elle travaille comme aidesoignante et Calle refuse désormais de lui verser sa pension alimentaire.
Un beau jour, Johanna gagne vingt millions de couronnes au loto. Dès lors, sa vie prendra un tout autre chemin, un chemin qu'elle attendait depuis longtemps ...
Anna Fredriksson nous invite Rue du Bonlzeur et on s'y sent immédiatement comme chez soi. À la manière de Cédric Klapish ou de Katherine Pancol, elle brosse des personnages si réels, si attachants, à notre image tout compte fait, qu'on ressort euphorique et revigoré de ce séjour chez Johanna, Calle et leurs filles.
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