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La psychologie de C.
G. Jung repose toute entière sur l'expérience de l'inconscient pris dans toute son ampleur, qui est transpersonnelle et infinie. Cette expérience est tirée, d'une part, des rêves et, d'autre part, de l'imagination active.
Barbara Hannah définit celle-ci comme "un rêve vu ou entendu à l'état de veille." Ce n'est ni une rêverie passive, ni une activité dirigée par les vues et les vouloirs de l'individu.
Le sujet y observe une attitude de présent vigilante, aux écoutes de tout ce qui monte du fond de lui-même, y adhérant de façon vitale et prêt à effectuer des choix éthiques entre les matériaux qui émergent. C'est donc une marche sur le fil du rasoir. La confrontation avec l'inconscient vécue par C. G. Jung de 1913 à 1911 dont il est sorti transformé, est le plus bel exemple de cette méthode. Celle-ci se situe aux antipodes de toute technique et illustre ce qui est 1e maître-mot de la voie jungienne : laisser advenir (gescheben lassen).
L'auteur présente ici plusieurs récits d'imagination active recueillis chez ses patients et, auprès d'eux, deux précédents historiques.
On peut ainsi voir qu'il s'agit en l'occurrence du dialogue de l'individu avec son âme, tel qu'il se déroule sous sa forme la plus naturelle chez des personnes en qui la pression de l'inconscient revêt certaines formes et atteint une certaine intensité.
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