80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Cet ouvrage, premier de la collection DÉCRIRE, est un recueil des récits de vie et de situations quotidiennes - et désormais ordinaires - d'une cinquantaine de chercheurs qui ont partagé ou partagent encore, sous des statuts divers et dans des temporalités différentes, un lieu de débat : le Laboratoire Architecture Anthropologie (LAA-Lavue 7218 CNRS/ Ensa Paris-La Villette), qui fête ses 40 ans en 2021. Ces textes ont été rédigés pendant cette période particulière - et « extra-ordinaire » - que nous venons tous de vivre, de janvier 2020 (période où le covid-19 s'annonce en Chine) à juin 2021, au moment de la réalisation de cet ouvrage. Ces descriptions sont situées et s'enchaînent suivant le calendrier qui a scandé nos vies et les événements de cette année et demie, en France mais aussi à l'étranger. Un carnet de terrain collectif de dix-huit mois dans un monde pandémique. Les détails de la vie quotidienne qui peuplent ces pages ont un caractère empathique et global qui permet à chacun de se reconnaître dans des sensations, des expériences et des situations vécues à des milliers de kilomètres les unes des autres. Chaque texte met au centre la description comme une loupe révélant le quotidien qui construit nos vies. Un véritable exercice mnémonique a permis à chaque auteur de se détacher des récits collectifs imposant souvent un quotidien monotone, afin de retrouver des situations intéressantes susceptibles de résonner avec les préoccupations citoyennes ou les enjeux scientifiques de chacun.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année