"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
A peine achevée La Passion cathare, qui l'a imposé comme l'un de nos meilleurs romanciers historiques, Michel Peyramaure se jette dans une nouvelle entreprise, plus ambitieuse encore, consacrée tout entière à la guerre de Cent Ans - celle-ci : La lumière et la boue.
Entreprise gigantesque, car l'époque qu'elle met en scène (de 1337 à 1453) est l'une des plus tourmentées et des plus terribles de l'histoire de l'Europe occidentale.
Rendre ces temps de conflits incessants, d'intrigues, de malheurs et de massacres intelligibles et sensibles au lecteur d'aujourd'hui, tel était le défi. Michel Peyramaure l'a si bien relevé que, dès le premier tome, Quand surgira l'étoile Absinthe, il remportait le prix Alexandre-Dumas du roman historique 1980.
Il y a les rois, les princes et les grands capitaines, des caractères de fer (le Prince Noir, Du Guesclin) et des coeurs inspirés Jeanne d'Arc) ; il y a aussi, surtout, les humbles, paysans et soldats, d'un bord et de l'autre : la foule qui fait l'Histoire - mille destins individuels dans le destin général, des femmes et des hommes, des amours, des amitiés, des déchirements et des bonheurs.
C'est ainsi que l'on fait revivre l'Histoire, et qu'on la fait aimer.
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