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Purgatoire des innocents

Couverture du livre « Purgatoire des innocents » de Karine Giebel aux éditions Fleuve Noir
Résumé:

Je m'appelle Raphaël, j'ai passé quatorze ans de ma vie derrière les barreaux.
Avec mon frère, William, et deux autres complices, nous venons de dérober trente millions d'euros de bijoux.
Ç'aurait dû être le coup du siècle, ce fut un bain de sang.
Deux morts et un blessé grave.
Le... Voir plus

Je m'appelle Raphaël, j'ai passé quatorze ans de ma vie derrière les barreaux.
Avec mon frère, William, et deux autres complices, nous venons de dérober trente millions d'euros de bijoux.
Ç'aurait dû être le coup du siècle, ce fut un bain de sang.
Deux morts et un blessé grave.
Le blessé, c'est mon frère. Alors, je dois chercher une planque sûre où Will pourra reprendre des forces.

Je m'appelle Sandra.
Je suis morte, il y a longtemps, dans une chambre sordide.
Ou plutôt, quelque chose est né ce jour-là...

Je croyais avoir trouvé le refuge idéal.
Je viens de mettre les pieds en enfer.

Quelque chose qui marche et qui parle à ma place.
Et son sourire est le plus abominable qui soit...

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Articles (1)

  • Ces dames du polar : les romancières reines du suspense
    Ces dames du polar : les romancières reines du suspense

    Le polar, un genre littéraire qui a acquis ses lettres de noblesse avec une pléthore d’auteurs référents comme Agatha Christie, écrivaine prolifique et emblématique dont nombre de ses  romans ont été adaptés au cinéma. Un genre littéraire qui a pris de l’ampleur dans les rayons des librairies et qui voit naître une nouvelle génération d’auteures toujours plus inspirées et dont le talent est largement salué. Des intrigues qui distillent angoisse et suspens avec brio, rendant le lecteur accro, à tel point que leur prochain roman est toujours impatiemment attendu. Adrénaline, quand tu nous tiens !

Avis (33)

  • Quand un braquage tourne mal, et que la solution opté est une prise d'otage sauf qu'ils passeront de prédateurs à proies...

    C'est un thriller intense et sombre. On s'y concentre sur quelques personnages, et souvent que dans une pièce/scène à la fois. Ça nous fait penser à un huis clos. Le...
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    Quand un braquage tourne mal, et que la solution opté est une prise d'otage sauf qu'ils passeront de prédateurs à proies...

    C'est un thriller intense et sombre. On s'y concentre sur quelques personnages, et souvent que dans une pièce/scène à la fois. Ça nous fait penser à un huis clos. Le suspense est maintenu tout au long du récit, et le retournement de situation sont nombreux.

    Lecture captivante même si, à mon goût, c'était tiré en longueur au milieu du livre. Ce polar explore les limites de l'horreur humaine et la résilience face à cette violence physique, et psychologique.

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  • L'univers de Karine Giebel est très glauque. Ce livre n'échappe pas à ce ressenti. Cela m'a fait penser à Stephen King dans Miséry. De la violence épouvantable, qui hérisse les poils et de plus en plus tout au long des descriptions de ce que subissent les otages. Ouh ouh, on repousse de plus en...
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    L'univers de Karine Giebel est très glauque. Ce livre n'échappe pas à ce ressenti. Cela m'a fait penser à Stephen King dans Miséry. De la violence épouvantable, qui hérisse les poils et de plus en plus tout au long des descriptions de ce que subissent les otages. Ouh ouh, on repousse de plus en plus loin, ce que l'humain peut subir et supporter. Les thèmes sont là ; la violence, l'inceste, les voyous, néanmoins au grand coeur, qui tentent d'aider les enfants; L'appât du gain aussi et la toute puissance de personnages sans empathie ni limites . Malheureusement, ce livre fait le pendant de l'actualité, on frémit mais la réalité rejoint la fiction. C'est terrifiant .

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  • Purgatoire des innocents de Karine Giebel
    Ce n’est pas le premier livre que je lis de Karine Giebel et très certainement pas le dernier, mais je peux vous assurer qu’après celui n’est pas à mettre en toutes les mains et qu’avant que je ne revienne vers Karine Giebel, je vais prendre le temps de...
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    Purgatoire des innocents de Karine Giebel
    Ce n’est pas le premier livre que je lis de Karine Giebel et très certainement pas le dernier, mais je peux vous assurer qu’après celui n’est pas à mettre en toutes les mains et qu’avant que je ne revienne vers Karine Giebel, je vais prendre le temps de le digérer. Tout commence le mardi 4 novembre il est 15 heures, place Vendôme à Paris un couple se présente dans une bijouterie et se fait présenter un collier en platine, incrusté d’un diamant blanc en poire de huit carats, de deux diamants jaunes de sept et cinq carats et de deux diamants roses de deux carats chacun. Le vendeur remarque cette jeune femme qui psalmodie avec élégance et distinction. « Elle a des yeux étonnants, qui le mettent mal à l’aise. Le gauche est bleu irisé d’un soupçon de vert. Le droit marron foncé. Elle n’est pas maquillée. Ce collier lui irait à merveille. Toutes les femmes ne sont pas faites pour porter trois millions d’euros autour du cou. Elle, si. » Le quadragénaire qu’il l’accompagne ne correspond pas non plus au portrait d’un milliardaire malgré son costume Armani et l’Audemars Piguet qui orne son poignet. Une vieille cicatrice barrant sa joue droite lui confère un air de truand. Un troisième client entre dans la bijouterie, un homme élégant qui est aussitôt pris en charge par l’assistante du bijoutier. Un sourire transfigure la jeune femme. « Je le veux, » dit-elle parlant de la pièce exceptionnelle présentée. Il est à toi… Tout ce qui se trouve ici est à toi, ajoute l’homme. N’est-ce-pas monsieur ? Monsieur est généreux, hasarde le bijoutier. Ou éperdument amoureux ! Ni l’un ni l’autre répond-il en écartant sa veste ou un Colt Double Eagle brille autant que le collier. 16h30 à 300 km au Sud de Paris sur une petite route Sandra vétérinaire de son métier, fonce . A son autoradio elle apprend que trois voleurs et une femme ont braqué une bijouterie et qu’à leur sortie une fusillade a éclaté avec la police dont un policier est grièvement blessé et une passante a été tuée. D’après les éléments un des braqueurs est blessé. Trois hommes, une femme. Trente millions d’euros de bijoux dans le coffre d’une Audi. Un Double Eagle, un Glock, un beretta, tout était pourtant bien rodée. Une voiture banalisée au mauvais moment, au bon endroit, trois poulets qui les chopent quand ils s’arrachent. Coups de feu ! Une passante s’écroule. Un flic s’écroule. Un plan parfait qui s’écroule ainsi que William le frère de Raphaël qui pisse le sang soutenu par Fred. Christel sur le siège passager ne bouge pas murée dans le silence. 20 h on s’arrête au prochain bled et on trouve un toubib. 20h20, l’Audi est rangée le long du trottoir. Raphaël note le numéro de l’inscription d’une plaque S. Thuillier, vétérinaire. Un peu plus tard il pénètre dans la cabine téléphonique est demande l’intervention à son cabinet de la vétérinaire, prétextant avoir buté un Labrador avec son véhicule. Boulot, boulot, Sandra s’engouffre dans son 4x4 et s’approche de la berline noire à l’invitation de Raphaël. Médusée elle découvre un homme blessé… On va chez vous. Dans le même temps nous allons suivre deux jeunes collégiennes qui lorsqu’elles sortent du collège sont épiés par un homme. Pourquoi Jessica imaginerait-elle une seule seconde qu’un homme l’épie du matin au soir ? Qu’il passe des nuits entières sous la fenêtre de sa chambre à se masturber en pensant à elle et qu’elle va devenir sa proie pour nourrir les instincts pervers d’un homme ayant oublié qu’il en était un. Plus que quelques heures à tenir est un enlèvement se concrétise celui de la jeune Jessica et de son amie Aurélie. Il est 19h55 ce jeudi 6 novembre. Le scénario dessiné par Karine Giebel se précise et au fil des pages nous allons suivre les différents itinéraires balisés par ces deux histoires. C’est alors que sous la plume acide de Karine Giebel ces trajectoires vont se réunir et là nous entrons dans une autre dimension ou les auteurs du braquage vont devenir des victimes du couple Thuillier, qui va s’avérer être un des plus tordus. Cette ferme ou se tient quatre chevaux dans des box entourés d’herbages cache en sous-sol et dans les bâtiments des chambres des horreurs et ou 13 corps d’innocentes jeunes filles séquestrés violés, massacrés ayant subi les pires outrages ont été sommairement enterrés un peu partout aux abords de bois dans cette propriété. Rien ne nous est épargné dans ce roman, la pédophilie, le cannibalisme, l’inceste, les tortures, le sadisme, les viols, l’extrême violence, la soumission, la mort qui vient comme une délivrance, mais aussi le courage, l’abnégation, la résilience, la fraternité, la camaraderie, est un final en apothéose. Le purgatoire des innocents est un thriller implacable, terrifiant sous la plume acérée de Karine Giebel. Ce livre, que dis-je ce pavé de 600 pages que vous allez dévorer, ne vous laissera surement pas indifférent. Je vous l’assure ou alors il est grand temps d’aller consulter. Bien à vous.

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  • Voilà ce que j’écrivais il y a quelques mois :

    « Je sais désormais, qu’avec Karine Giebel, je n’entame pas une promenade de santé. Ce sera du lourd, qu’on se le dise ! » Celui-là ne dérogera pas à la règle ; et peut-être bien même qu’il est pire…Mais un été sans Karine Giebel, n’est pas tout...
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    Voilà ce que j’écrivais il y a quelques mois :

    « Je sais désormais, qu’avec Karine Giebel, je n’entame pas une promenade de santé. Ce sera du lourd, qu’on se le dise ! » Celui-là ne dérogera pas à la règle ; et peut-être bien même qu’il est pire…Mais un été sans Karine Giebel, n’est pas tout à fait un été !

    Cela commence par un prologue en italique, in petto, un peu énigmatique. Et puis on rentre dans le vif du sujet, par un banal cambriolage, qui certes ne tourne pas vraiment comme il aurait dû, mais de prime abord, cela pourrait laisser penser à quelque chose d’assez mou, et classique. Et puis viennent ‘insérer quelques passages d’un tout autre ordre, d’une allure hors sujet…Quelques a parte présentant nos malfrats dans leur jeunesse un peu tumultueuse. Raphaël et William sont abonnés à la prison, ils n’ont pas eu beaucoup de chance dans leur vie, mais n’ont pas fait grand -chose non plus pour inverser la tendance.

    Le casse du siècle, en réalité tourne ma ; les quatre malfrats dont un très blessés échouent en rase campagne à la recherche d’un médecin. Manque de chance, ce ne sera pas un médecin, mais une vétérinaire qui va devoir procéder aux premiers secours. Une jeune et jolie jeune femme, compétente qui cachent bien des secrets, tout comme son compagnon qui ne tarde pas à entrer en scène. Sandra dit être mariée avec un gendarme qui va bientôt de rentrer de mission.

    Jessica et Aurélie, quant à elles, ne savent pas qu’un cruel destin leur est promis

    C’est le début d’un cauchemar éveillé, d’une succession d’évènements, de découvertes, de révélations, évidemment distillées avec parcimonie. Tel le Marquis de Sade qui fait durer le plaisir (les lecteurs comprendront au fil des pages mon allusion qui n’a rien de gratuit).

    La construction fait d’alternances et de changement de temporalité, est la marque de fabrique de Karine Giebel pour tenir son lecteur en haleine. Et quand on pense détenir la clé de l’énigme, et bien Karine Giebel nous entraine encore plus vers l’impensable, le sordide, inavouable. Elle décortique jusqu’à la nausée la noirceur de l’âme humaine, le rapport complexe de la victime avec son bourreau, surtout quand elle devient elle-même bourreau parce qu’en réalité, qu’a-t-elle connu de bon pour se construire positivement ? « Comment avouer l’horreur de son existence à ces inconnus ? »



    Encore une fois, Karine Giebel me surprend ; et le pire, est que j’y prends goût d’une certaine manière (je sais que c’est un livre, hein !), parce que notre société est aussi faite de cela. Karine Giebel a beau avoir l’imagination débordante, elle nous parle de nous, des êtres immondes dont les anales judiciaires sont faites et abreuvent d’une certaine façon notre soif de noirceur.

    Un roman de Karine Giebel n’est pas une promenade tranquille, et pourtant, j’y reviendrai. Je sais qu’elle me surprendra encore ! Pour le coup de coeur, j'hésite devant tant de noirceur...

    https://leblogdemimipinson.blogspot.com/2022/07/purgatoire-des-innocents.html

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  • Purgatoire des innocents commence par un braquage qui tourne mal, une fuite et une planque qui avait l'air idéale... sauf que les apparences peuvent être trompeuses. Raphaël, Will et leurs acolytes vont l'apprendre à leurs dépends.

    J'ai tout simplement adoré ce thriller. L'écriture, toujours...
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    Purgatoire des innocents commence par un braquage qui tourne mal, une fuite et une planque qui avait l'air idéale... sauf que les apparences peuvent être trompeuses. Raphaël, Will et leurs acolytes vont l'apprendre à leurs dépends.

    J'ai tout simplement adoré ce thriller. L'écriture, toujours aussi nerveuse, permet d'enchaîner les rebondissements, à mesure que ce qui devait être un bon coup tourne au cauchemar. Aucun des personnages n'est ce qu'il paraît être et tous cachent une profonde noirceur. Je me suis laissée emportée par ce polar très sombre et ai apprécié de me faire mener en bateau par l'auteure.

    A chaque fois que je lis un thriller de Karine Giebel, je me demande comment j'ai pu passé à côté de cette auteure pendant des années. Celui-ci ne fait pas exception et fait parti de ses meilleurs. A lire absolument si vous aimez les romans noirs.

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  • Raphaël et William, appartenant à la même fratrie et tous deux délinquants, participent à un casse très risqué dans une grande bijouterie de la place Vendôme, mais malheureusement pour eux, le braquage tourne court et la situation dégénère.
    Laissant derrière eux deux morts, le jeune William...
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    Raphaël et William, appartenant à la même fratrie et tous deux délinquants, participent à un casse très risqué dans une grande bijouterie de la place Vendôme, mais malheureusement pour eux, le braquage tourne court et la situation dégénère.
    Laissant derrière eux deux morts, le jeune William ayant en outre reçu une balle, ils sont obligés d’opter pour un plan B. Au lieu de leur cache à l’abri, ils prennent la route. Raphaël vient de sortir de prison, il est donc prêt à tout pour ne surtout pas y retourner. Mais il tient également à protéger son petit frère. Le tandem fraternel est accompagné d’un jeune couple. La santé de William s’aggravant, ils s’arrêtent et trouvent refuge chez une vétérinaire dans un lieu bien tranquille et forcent la jeune femme à coopérer. Mais le cauchemar pour eux ne fait que commencer ...

    Depuis Juste une ombre que j'avais apprecié , je n'arrivais plus à trouver un Giebel qui me satisfaisait c'est fait ! Giebel à réussi à nous faire détester , compatir Raphaël et ses acolytes, on a de la peine pour les petites filles, on a envie de tuer le kidnappeur, la fin est pareil que tous le livre à nous donner des sentiments contradictoire surtout concernant Raphael doit il être puni pour ce qu'il a fait ou doit il être pardonner pour ce qu'il a subi ? J'ai apprécié aussi les dernieres pages qui m'ont surprise ...je mettrai un bémol sur le cote un peu rocambolesque sur l'arnaque de Raphael pour coincer le kidnappeur , sur la rapidité à retrouver tout le monde ... Avec ce livre Karine Giebel à réussi une chose : de continuer à lire ces livres ( ce qui n'etait pas arrivé depuis un ... moment) .

    Pour finir merci aux lecteurs qui m'ont conseillé ce livre et maintenant quel est le livre suivant que je dois lire de cette auteure ou d'un auteur du meme style ?

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  • Avec l’espoir pour Marianne de trouver la liberté dans – Meurtres pour rédemption – et sa rédemption. Karine Giebel nous a livré un récit émouvant et d’un grand dynamisme. Mais elle se surpasse aisément, dans ce thriller, aux confins de l’horreur, de l’indicible, dans des actes qui pourtant...
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    Avec l’espoir pour Marianne de trouver la liberté dans – Meurtres pour rédemption – et sa rédemption. Karine Giebel nous a livré un récit émouvant et d’un grand dynamisme. Mais elle se surpasse aisément, dans ce thriller, aux confins de l’horreur, de l’indicible, dans des actes qui pourtant frôlent notre quotidien…

    L’on commence par du classique, quatre malfrats choisissent, en toute simplicité de braquer une bijouterie de la Place Vendôme pour un butin d’environ 30 millions d’euros. L’un d’eux sérieusement blessé, a besoin de l’intervention d’un personnel médical, et vite !
    D’autre part, un prédateur sexuel, qui vient d’enlever deux jeunes filles ; et retournent avec elles dans un endroit isolé de la campagne.

    Les ingrédients sont prêts, et la mise en bouche commence, lentement, progressivement. Le domaine de l’angoisse vous étreint, les personnages se heurtent, les relents de la cruauté explosent lors de leur confrontation. Une chronologie de l’anxiété parfaitement maîtrisé ; un détail des faits – notamment celui du pervers - qui peut s’avérer morbide, mais parfaitement intégré dans la narration. Certes, un sujet de prédilection pour Karine Giebel.

    L’on ne peut rester insensible aux différentes situations de ce huis-clos, ou l’horreur le dispute à l’épouvante, la froideur à l’empathie…L’altérité n’existe pas dans ce monde. Vivre chaque seconde comme si elle était la dernière. Existe-t-il une lueur, un espoir de sortir de cet enfer ?…Mais chut, je ne veux rien dévoiler.

    Avec purgatoire des innocents, l’on reste imprégner dans ce monde marginal mais ô combien dangereux. Ainsi la violence des différents protagonistes, vous tiendra en haleine jusqu’au point final. Puis avec l’envie impérieuse de courir, de s’échapper de cette atmosphère étouffante et toxique. Ame sensible s’abstenir !

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  • Purgatoire des innocents de Karine Giebel.
    Le summum du thriller que j'ai pu lire jusqu'à présent !
    Angoissant, terrifiant, à la limite du supportable, au point de devoir parfois faire des micro-pauses pour "digérer le truc"... Ça retourne les tripes (Le coup des ongles
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    Purgatoire des innocents de Karine Giebel.
    Le summum du thriller que j'ai pu lire jusqu'à présent !
    Angoissant, terrifiant, à la limite du supportable, au point de devoir parfois faire des micro-pauses pour "digérer le truc"... Ça retourne les tripes (Le coup des ongles

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