80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Février 1956... La guerre est toujours présente dans les esprits. Les gens, encore affamés, ont soif de paix et de bonheur. Un besoin de rire, d'oublier et de profiter enfin de la vie. P'tit Gé, un vrai gone de Lyon, a alors treize ans... Les repas de Noël en famille, bien arrosés, les ouvertures de la chasse de son grand-père, les parties de pêche à la grenouille, la fête au village sur les genoux de l'abbé Pierre, les blagues de gamins, rien que de bonnes farces, croustillantes à souhait, nombre de clichés à la Robert Doisneau, et cerise sur le gâteau, les quatre cents coups d'adolescent au lycée Ampère...
Après "L'Étang du meunier, l'auteur continue à nous entraîner, d'une plume leste et malicieuse, dans l'univers de son enfance avec, en toile de fond, humour et tendresse sans la moindre mélancolie. Une histoire simple et authentique dans laquelle le lecteur s'identifiera à l'auteur, avec, c'est probable, parfois seulement, une petite larme à l'oeil en songeant à sa jeunesse enfuie... Un retour, un tantinet émouvant, à l'essentiel, mais avant tout un bain de jouvence à savourer sans modération.
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