80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Ce livre est composé de "lettres" adressées à des vivants ou à des morts. En quelque lieu qu'ils se trouvent, je n'ai aucune peine à les rejoindre ; je leur parle, ils m'écoutent, nous mettons nos destins en commun : c'est une alliance et c'est une libération.
Ainsi ai-je fait dans Je vous écris (1960) et dans La Nuit et les sources (1963) que ce nouveau livre prolonge.
Proche du silence... Quel silence ? Celui dont, en effet, on peut craindre l'approche, mais non moins ce vivant silence où nous percevons nos voix essentielles...
...Dans ce livre, qui est presque une déclaration d'amour à qui veut l'entendre, je compte en premier lieu sur les disparus, sur la bonté des arbres, des bêtes, des choses et de la lumière, puis sur l'indulgence de ceux qui m'entourent, et même, grâce au sourire de notre langue, sur quelques autres. » Marcel Arland.
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