80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Quand, sur les bancs du groupe Louise Michel impasse Ramey, le secrétaire de la Fédération Anarchiste française, Maurice Joyeux, dans les années soixante, donnait des cours d'histoire sociale aux jeunes membres de la section, le nom de Louise Michel revenait avec insistance.
Elle était citée pour son courage, son abnégation, sa radicalité, son extrémisme. Elle avait plusieurs surnoms : la vierge rouge, la bonne Louise, la reine du pétrole, la sainte laïque. Et pour ses ennemis, c'était la louve avide de sang. Vierge, faut voir. En effet, la nuit entière passée seule sur une barricade avec un superbe Africain, un ancien zouave pontifical, il m'étonne que la sympathie soit restée le seul sentiment.
Et la couleur me semble aussi bien réductrice. Ne devrions-nous pas dire plutôt rouge et noire. Et plutôt qu'une vierge, une femme, qui écrit dans ses mémoires : " oui, barbare que je suis, j'aime le canon, l'odeur de la poudre, la mitraille dans l'air, mais je suis surtout éprise de la Révolution ". Jacques Le Glou.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année