Les Nations Unies avaient décrété 2005, l'Année Internationale du Microcrédit et dans la foulée, Mohammed Yunus, l'initiateur obtenait le Prix Nobel de la Paix en 2006. Ce fut dans ce contexte précis que l'idée de ce travail a germé. Il se proposait d'appréhender au-delà de la doxa ambiante, la singularité du phénomène en tant que construit social et économique, inscrit dans un environnement spécifique et impulsé par des individus qui l'identifie comme une opportunité entrepreneuriale. En s'interrogeant sur comment des individus en arrivent-ils à s'associer pour exercer l'activité de microfinance, le regard s'est porté sur l'expérience singulière de l'Association pour la Promotion de l'Epargne et du Crédit (ASPEC) pour analyser les motivations des initiateurs, la structure du contexte environnant leur action et les résultats de leur entreprise sociale et solidaire. Cet ouvrage intéresse l'ensemble des parties prenantes qui gravitent dans l'univers social de la microfinance notamment les entrepreneurs sociaux, les investisseurs et les experts en quête d'un meilleur modèle économique pour faire de la microfinance une solution replicable et viable répondant à un besoin financier réel.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
