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Poète... vos papiers !

Couverture du livre « Poète... vos papiers ! » de Leo Ferre aux éditions Points
  • Date de parution :
  • Editeur : Points
  • EAN : 9782757824702
  • Série : (-)
  • Support : Poche
Résumé:

Que l'image soit rogue et l'épithète au poil/ La césure sournoise certes mais correcte/ Tu peux vêtir ta Muse ou la laisser à poil/ L'important est ce que ton ventre lui injecte.


À vos plumes poètes, la poésie crie au secours, le mot Anarchie est inscrit sur le front de ses anges noirs ; ne... Voir plus

Que l'image soit rogue et l'épithète au poil/ La césure sournoise certes mais correcte/ Tu peux vêtir ta Muse ou la laisser à poil/ L'important est ce que ton ventre lui injecte.


À vos plumes poètes, la poésie crie au secours, le mot Anarchie est inscrit sur le front de ses anges noirs ; ne leur coupez pas les ailes ! La violence est l'apanage du muscle, les oiseaux dans leurs cris de détresse empruntent à la violence musicale. Les plus beaux chants sont des chants de revendication. Le vers doit faire l'amour dans la tête des populations. À l'école de la poésie, on n'apprend pas : on se bat.

Léo Ferré

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Avis (1)

  • Léo, on l’aime pour sa verve, ses provocations et la poésie de ses textes. Bien sûr, quand on enlève la musique, on peut davantage goûter aux mots, mais n’est-ce pas risqué pour des textes écrits pour être chantés ?
    « Je suis l’enfariné dans le pétrin à rire
    Je suis la poésie et je me bois...
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    Léo, on l’aime pour sa verve, ses provocations et la poésie de ses textes. Bien sûr, quand on enlève la musique, on peut davantage goûter aux mots, mais n’est-ce pas risqué pour des textes écrits pour être chantés ?
    « Je suis l’enfariné dans le pétrin à rire
    Je suis la poésie et je me bois cul sec »
    Pour les inconditionnels de Ferré, « l’enfariné » restera toujours le poète épris de liberté, l’anarchiste au grand cœur, le poète qui criait sa colère.
    « Place à la poésie, hommes traqués ! » disait Ferré dont la poésie a toujours sa place, cette poésie qui se chante, se clame ou se murmure, c’est selon.
    « Les plus beaux chants sont des chants de revendication » et le poète n’a pas été en reste pour dénoncer l’injustice. Et même si certaines de ses chansons sont sombres, l’espoir n’est jamais loin, il le disait lui-même : « Je voudrais que ces quelques vers constituent pour les hommes libres qui demeurent mes frères un manifeste de l’espoir »
    Alors, lisons Ferré !

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