80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Depuis mon plus jeune âge, j'ai une passion : les livres. Ils ont forgé mon enfance, ils sont le fil directeur de ma vie professionnelle. Je suis née belge, la France m'a accueillie et m'a permis d'agir. De la Belgique jusqu'au ministère de la Culture où j'ai passé dix-sept mois, j'ai traversé des moments heureux, exigeants, durs parfois, mais aussi inespérés. Toute ma vie je me suis engagée. Car je crois au pouvoir du dialogue face au cynisme du monde moderne, je crois à l'entraide citoyenne contre les violences du capitalisme, je crois à la solidarité dans une société encore inégalitaire envers les femmes.
Dès que j'ai découvert le monde politique au plus haut niveau, j'ai vu l'immense responsabilité que cela impliquait. Comment une femme de 66 ans, inscrite à aucun parti, sans expérience des institutions, peut-elle se rendre utile à son pays ? Ces mois où j'ai expérimenté le "pouvoir de faire" méritent, je crois, d'être racontés. La culture est, à mes yeux, un plaisir et une nécessité. Je voudrais vous faire partager ce qui m'anime.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année