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Le nom de Philippe Soupault évoque d'abord les débuts de l'aventure surréaliste et, de manière générale, la poésie.
Toutefois, le coauteur des Champs magnétiques nous a laissé une production riche et variée : romans, nouvelles, critiques, textes autobiographiques. Jean-Jacques Queloz s'est intéressé à deux des facettes de cette oeuvre, souvent négligées par la critique, à savoir les écrits autobiographiques et les textes critiques consacrés à Lautréamont. Qu'elle soit autobiographique ou critique, l'oeuvre de Soupault s'étale dans le temps et, à plusieurs reprises, l'auteur surréaliste a abordé des sujets identiques.
Jean-Jacques Queloz tire parti de cette opportunité et considère les textes dans une perspective génétique. Il parvient ainsi à dégager des éléments de poétique qui permettent de constater que l'oeuvre de l'autoblographe et celle du critique, non seulement se font écho, mais se complètent : la lecture d'autrui est incidente sur l'écriture de soi.
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