Pratiques esthétiques et droits de l'homme dans l'hémisphère sud.
L'invisibilité de la violence politique, ses traces matérielles et ses manifestations spatiales, caractérisent les situations (post-)conflictuelles. Pourtant, les contre-sémantiques et les récits dissonants qui remettent en cause cette invisibilité ont été formulés par des artistes, des écrivains et des militants des droits de l'homme qui cherchent de plus en plus à contester l'amnésie historique qui y est associée. En adoptant le concept de « performance », défini par des pratiques esthétiques répétitives, telles que la parole et les habitudes corporelles par lesquelles les identités individuelles et collectives sont construites et perçues (Susan Slyomovics), cette publication aborde différentes formes de performation des droits de l'homme dans des situations de transition en Espagne, en Amérique latine et au Moyen-Orient. Réunissant des chercheurs, des artistes, des écrivains et des conservateurs, et travaillant dans un large éventail de disciplines, Performing Human Rights aborde ces cas d'omission et de négligence, révélant comment d'autres espaces institutionnels et stratégies de production culturelle sont intervenus dans les processus de justice historique et de mémoire collective.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
