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Noire et inquiétante était la ville, la nuit.
L'éclairage, les illuminations et les enseignes la transfigurent, et voilà la ville contemporaine prête à s'animer, se parer et travailler vingt-quatre heures sur vingt-quatre. La lumière s'impose comme une composante nouvelle et inattendue de la fabrique de la ville, grâce à des artistes tels que Laurent Fachard, Yann Kersalé, Mark Major, Roger Narboni, et bien d'autres. Jouant sur les perceptions sensorielles et sur la virtualité, il lui revient non seulement d'embellir et de rassurer mais aussi de révéler des sites, marquer des repères, relier des fragments dispersés.
La capacité de la lumière à transformer lieux et atmosphères comporte aussi des revers, risques d'une théâtralisation de la ville, d'une banalisation. Pourtant, par sa plasticité, sa capacité à encourager et préfigurer des usages futurs, elle suggère une ville autre différent, contribue à créer un espace-temps différent. Deuxième ouvrage d'une trilogie. Penser la ville par la lumière fait suite à celui consacré au paysage et précède celui dédié à l'art contemporain ; ensemble ils témoignent du renouvellement des approches en matière de projet urbain, voire territorial.
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