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L'ouvrage de Didier Boone prend son point d'appui sur le motif du chien dans l'oeuvre de Francisco Goya, dont, pour donner vie à ses personnages, il emprunte la figure énigmatique.
Le Francisco de ce récit quitte un jour son compagnon, Rainer, et part au bout du monde, en promettant de revenir riche et célèbre.
Rainer l'attend dans leur village. Francisco tardant à revenir, il va le rejoindre et découvre sa trahison : délibérément remplacé par un autre, il finira, véritable crève-coeur pour lui, par s'en retourner.
On le retrouve alors dans le village, errant comme un chien abandonné, et faisant mine, manière de ne pas s'avouer totalement vaincu, de se rattacher au passé qu'ils ont vécu ensemble.
Fiction, réalité ? Destins croisés. Où sommes-nous donc dans ce récit poussant l'expression jusqu'au paroxysme de l'imaginaire et de l'allégorie où les éléments extérieurs mêmes sont comme autant de spectateurs ?
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