"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Lisa Hernest, psychiatre reconnue et spécialisée dans les cas complexes, est appelée à l'institut Saint-Vincent en périphérie de Paris. Elle va rencontrer sa nouvelle patiente : Judy Desforêt, internée pour paranoïa et hallucinations, enceinte de cinq mois et qui refuse de s'alimenter. Dès leur première entrevue, la jeune femme qui se dresse face à elle fait preuve d'une lucidité et d'un discernement hors pair. Et plus Lisa apprend à la connaître, plus leurs échanges viennent ébranler ses propres convictions professionnelles et personnelles. Entretien après entretien, Judy lui livre en effet une curieuse histoire, mêlant sa quête des racines familiales en Angleterre et la présence invisible d'un certain Alwyn, cet homme qui la suit comme son ombre depuis toujours. Progressivement, Lisa, l'experte en âmes fragiles, sent ses moyens lui échapper et Judy la déstabiliser. À mesure que les mois passent et que la date de l'accouchement approche, la vérité semble s'éloigner.
De base, je ne suis pas fan des bloggueuses qui écrivent des livres. Alors forcément, je partais d'un mauvais coup d'oeil malgré les bons avis qui en découlaient... Et j'ai été réellement surprise.
Je ne suis pas une fan de thriller, de livre policier et pourtant ce livre m'a réellement plu. Il est bien écrit, et mérite sa place dans le monde de l'édition.
Je me suis rapidement attachée à Judy, et beaucoup identifié à Lisa qui reste pour moi un personnage attachant, touchant. Le suspense était à son comble pendant l'intégralité de l'oeuvre, même si j'ai été déçu de temps en temps que certains points ne soient pas exploités davantage.
Dois-je aussi préciser que je l'ai lu d'un trait ? Il m'a accompagné pendant mes longues heures de train, et je n'ai pas pu m'empêcher de le terminer aussitôt en arrivant chez moi... Alors autant vous dire que niveau addiction, il remplit mes attentes. D'ailleurs, je vous conseille de le lire d'un seul coup, on est plus facilement dans l'histoire et c'est une expérience vraiment satisfaisante.
Bref, je vous le conseille vivement ! Il ne me reste plus qu'à acquérir et lire le tome 2 !
Bonne lecture mais un peu brouillon. Fin trop ouverte.
Avis complet : http://vibrationlitteraire.com/2016/03/28/paranoia-melissa-bellevigne/
aranoïa nous entraîne d’abord dans la vie de Lisa, psychiatre de renommée, appelée en dernier recours pour une patiente compliquée : Judy. Cette jeune femme ne parle à personne et semble voir un homme que personne ne voit et on confie à Lisa sa prise en charge. Petit à petit, Judy va prendre confiance et s’ouvrir à Lisa en lui livrant son histoire, ou en tout cas son délire.
Les personnages sont intéressants mais j’ai trouvé qu’il y en avait très peu. On est immiscé au coeur d’un groupe restreint. Le récit est raconté avec un changement continuel des points de vue entre Lisa et Judy majoritairement. J’ai trouvé ça très bien fait. Cela permet à l’auteure de nous emmener là où elle le souhaite au moment où elle le souhaite. On ne vit pas le récit de Judy dans sa chambre de psychiatrie. On est en dehors, au moment où elle le vit et c’est beaucoup mieux !
Malheureusement, j’ai trouvé que les personnages n’étaient pas assez exploités : on reste vraiment en surface de leur personnalité. Leurs sentiments sont expliqués directement, superficiels et souvent trop exagérés donc peu crédibles à mon avis.
Une romance arrive en plein milieu du récit sans qu’elle n’ait vraiment été annoncée, sans qu’il y ait réellement de signes avant-coureurs et cela m’a déconcerté. J’ai eu l’impression que c’était posé là, au milieu, parce que l’auteure en avait besoin à ce moment-là et pas à un autre mais ce passage de l’objet détesté à l’objet adoré, l’amour de sa vie est vraiment trop brutal. Le lecteur en est décontenancé.
Côté intrigue, l’idée était vraiment bonne. L’histoire semblait mêler la psychiatrie et le paranormal dans un doute perpétuel… Cependant, j’ai trouvé l’intrigue trop peu développée. Il y a clairement de bons éléments mais, encore une fois pas assez travaillés à mon goût. On ne va pas en profondeur, on ne va pas jusqu’au bout des choses.
De plus, pour ceux qui ne le savent pas, je suis interne en psychiatrie. Et ma formation m’a totalement empêché d’apprécier ma lecture. Je n’ai pas réussi à entrer dans l’histoire à cause de l’aspect psy de celle-ci que j’ai trouvé très maladroit. On voit qu’il y a eu peu de recherches sur la question. On reste dans les idées populaires. Les termes psychiatriques ne sont pas utilisés correctement et pourtant, si leur définition avait été connue de l’auteure, leur usage aurait été clairement adapté dans ce récit où l’on oscille entre folie et paranormal. J’ai trouvé que ces termes étaient balancés de temps à autre pour rappeler qu’on parlait un peu de psychiatrie mais en n’en saisissant pas vraiment le sens. Le sujet principal n’est pas maîtrisé et je pense que s’il l’avait été, cela aurait pu magnifier le roman.
On nous fait miroiter une jeune fille en plein délire de persécution avec le mot “Paranoïa” et pourtant il n’en est rien. Oui, elle est persécutée dans son délire par plusieurs personnes (au nombre de 2…) mais un vrai paranoïaque est persécuté par toutes les personnes qui l’entourent et ne fait vraiment confiance à personne. Et encore, cela n’est qu’un exemple parmi d’autres.
L’histoire de Lisa, la psychiatre, est vraiment très intéressante. Cependant, elle est mise au second plan et là encore, j’ai eu l’impression qu’on n’allait pas jusqu’au bout des choses. Son récit n’est pas trop mal intégré à l’histoire en elle-même mais j’ai trouvé que ça se surajoutait comme quelque chose ” en plus ” et pas assez abouti.
Le déroulement et la fin restent très prévisibles. Il n’y a aucune surprise. J’ai trouvé que la fin arrivait trop tôt. Le roman se termine à un moment clé attendu depuis le début par Lisa et il manque, selon moi, la conclusion.
L’auteure laisse un peu de doute au lecteur, oscillant toujours entre le paranormal et la psychiatrie, mais Lisa explique en quoi ses troubles peuvent en effet être plutôt psychiatriques. D’ailleurs, j’ai trouvé la phrase sur la couverture en trop “L’autre est la seule à la croire” . Lisa ne croit pas Judy, à aucun moment. Elle fait seulement son travail de psychiatre qui est d’écouter les patients expliquer leur délire et en tirer des conclusions internes sur la façon de la prendre en charge. Elle ne croit pas en son délire, elle lui donne juste suffisamment confiance pour qu’elle se livre…
En conclusion, ce livre était plein de bonnes idées à l’état brut. Le résumé et la couverture m’avait clairement donné envie ! Malheureusement, je n’ai pas été séduite car l’histoire est, à mon sens, trop peu développée. Le sujet dominant, l’aspect psychiatrique n’a pas bénéficié d’assez de recherches pour tenir la route et en étant interne en psychiatrie, cela m’a empêché d’entrer vraiment dans l’histoire.
Cependant, je pense que si vous n’y connaissez strictement rien dans cette discipline, ce roman peut tout à fait vous plaire. Les personnages sont attachants, le changement perpétuel de point de vue est intéressant et la frontière entre le délire et le paranormal est assez mince pour en faire douter plus d’un ! N’hésitez donc pas à vous lancer et à vous faire votre propre idée !
J'ai pas aimé ! !bcp trop longueur ....
Melissa Bellevigne, vous la connaissez sûrement [ou pas] sous le nom de Golden Wendy. Blogueuse et youtubeuse, vous avez peut-être déjà croisé un de ses articles ou une de ses vidéos, sans savoir que la demoiselle entretient une relation toute particulière avec l'écriture, à moins que vous ne la suiviez depuis un moment. En tout cas, elle a été repérée l'été dernier par l'équipe de la collection Black Moon, qui a eu un gros de coeur sur le roman... Quelques mois plus tard, la nouvelle commence à se répandre, ma curiosité à s'éveiller. Plus j'en ai lu/vu/su, plus j'avais envie d'en découvrir encore. Paranoïa reçu, j'y allais intriguée. J'en suis ressortie ébahie !
Lisa est une psychiatre réputée, qui a la chance de pouvoir choisir ses cas et d'être souvent appelée lorsque ses confrères sont devant une impasse. Sa nouvelle patiente est une jeune fille, Judy : enceinte, elle ne parle plus et refuse de s'alimenter. Entre tentatives de suicide et murmures étranges dans le vide, son histoire se révèle délicate. Lisa sera-t-elle en mesure de découvrir le secret que cache Judy ? Pourra-t-elle l'aider ? Lisa se lance sans hésiter dans la bataille, pour sauver cette jeune fille, son bébé,... et peut-être elle-même.
Exit les romans de youtubeuses où il n'est pas vraiment questions d'histoires ni d'intrigues. Melissa Bellevigne nous propose un roman qui frôle la tension d'un thriller avec des personnages plutôt bien construits et une intrigue aux multiples révélations, laissant le lecteur parfois à court de souffle. J'ai aimé me plonger dans ce récit, qui avait parfois quelque chose d'un autre temps, qui donnait parfois cette impression de réalité. Et qui interroge le lecteur jusqu'au bout.
La narration alterne les deux voix de Lisa et Judy : deux façons de voir le personnage de Judy, sous plusieurs angles. Le premier sous le regard de Lisa, qui analyse d'abord la jeune fille comme une patiente. Son regard change petit à petit, s'affûte, s'adapte. C'est aussi le moment de la découvrir elle, ses ambitions, sa vie, sa carrière. Le second, c'est celui de Judy. Elle sait depuis des années qu'elle souffre d'une maladie, d'hallucinations, ce qui l'a poussée à s'isoler dans un petit village de campagne, non loin de Paris. Mais des événements étranges l'entraînent dans un périple londonien qui vient remettre en question ses convictions...
À un moment, une troisième voix prend la narration, le temps d'un court chapitre. Je tairai le personnage en question pour vous garder la surprise, mais j'étais étonnée par l'exercice de style et la façon dont cela collait au narrateur. Melissa Bellevigne a su donner assez de charisme à ses personnages pour que leurs voix ne se ressemblent pas et que le lecteur n'éprouve pas le sentiment de se perdre dans la narration. C'était un changement de décor réussi, qui m'a emportée ailleurs le temps de quelques pages.
Point noir dans ma lecture : le caractère plutôt revêche de Judy. Si j'ai aimé l'histoire de cette jeune femme, sa dualité, jusqu'au dénouement de Paranoïa, elle m'a légèrement pesé sur le système. Je la trouvais injuste de gérer ainsi ses troubles, elle m'irritait à être toujours sur la défensive. Pourtant, je me reconnaissais souvent dans son besoin de solitude, dans son besoin d'être entendue, dans les troubles qu'elle ressentait. Paradoxal, n'est-ce pas ?
Mais les histoires d'Alwyn et de Lisa ont pour moi été les plus convaincantes. Alwyn est un personnage mystérieux, aussi secondaire que principal. Il semble être aux côtés de Judy depuis qu'elle est petite et longtemps je me suis interrogée sur son rôle. Qui est-il vraiment ? Melissa Bellevigne laisse un certain flou sur ce protagoniste, qui entretient pour beaucoup son aura mystérieuse (ainsi que celle - un peu fantastique - de Paranoïa). Quant à Lisa, tout est plutôt limpide de son côté. Psychiatre réputée, elle est cependant confrontée à un problème de taille avec Judy... Au fur et à mesure que leur relation se tisse, on sent naître chez Lisa une forte obsession, bien loin du détachement professionnel qu'elle est censée conserver. Et là encore, l'auteur ne nous apprend les tenants de cette obsession qu'au compte goutte.
http://liliandtheworldofbooks.blogspot.com/2016/03/paranoia.html
Je connais l'auteure grâce à son blog ainsi qu'à sa chaîne Youtube. J'avais pré-commandé son livre (le 31 janvier) afin de le découvrir, car le résumé me plaisait énormément et j'ai eu l'honneur de l'avoir reçu en avant-première grâce aux éditions Hachette.
Comme le dit le résumé, c'est Lisa, la psychiatre de Judy qui va essayer de démêler tout ce qui se passe dans la tête de Judy. Le résumé est tellement complet que je préfère ne rien rajouter de peur de vous spoiler l'histoire.
J'ai beaucoup apprécié les personnages, nous avons Lisa, une psychiatre qui paraît insensible et qui est à fond dans son travail. Mais au fur et à mesure que l'on avance, on constate que c'est une femme sensible avec du coeur et va tout faire pour aider Judy.
Quant à Judy, elle m'a beaucoup touché. On ressent qu'elle est seule et je vous avoue que je n'aimerais pas passer par là. Malgré tout, elle nous montre que c'est une femme forte et qui assume ces choix et rien que, pour cela, je l'aie beaucoup aimé.
J'ai beaucoup aimé lire les deux points de vu que nous offre l'auteure. On découvre celui de Lisa ainsi que celui de Judy et j'ai trouvé cela judicieux. Grâce à cela, on peut en savoir plus sur nos deux personnages et à mieux les cerner.
D'un premier temps, on voit que Judy décide de se livrer et de faire enfin confiance à quelqu'un et c'est ainsi que l'on découvre son passé. On découvre aussi la vie privée de Lisa et malheureusement, elle est tellement prise par son boulot et par sa nouvelle cliente que rien ne va plus entre elle et son mari. Elle est même prête à le laisser partie afin qu'il soit heureux même si elle l'aime et l'aimera toujours (leur histoire m'a bouleversé).
En conclusion, il faut savoir que c'est son premier roman et pour moi c'est une réussite. L'intrigue est très intéressante, prenante et j'ai beaucoup aimé son univers. Sa plume est fluide, légère et les détails sont vraiment bien présents. Je vous recommande vivement son livre et j'ai hâte de découvrir ses prochains ouvrages.
8/10
Merci aux éditions Hachette et Cécile pour ce service presse. On m’a vanté les qualités de ce roman bien des mois avant sa sortie, et j’étais impatiente de m’immerger dedans. Le moins que l’on puisse dire, c’est que Paranoïa a été lu très rapidement et que je n’en ai fait qu’une bouchée. Malgré quelques points noirs assez dérangeants, le temps d’une lecture, je me suis sentie troublée à plus d’un titre.
Paranoïa est un livre à deux voix. D’un côté nous avons Lisa, une trentenaire qui exerce la profession de psychiatre d’une brillante manière. Elle fait partie des meilleurs praticiens de son pays et se voit confier les cas les plus rares et les plus compliqués qui soient. Un jour, elle rencontre Judy, une jeune fille de vingt ans sujette à des troubles psychiatriques que personne ne parvient à expliquer correctement. Nous suivons aussi Judy durant sa descente aux enfers. Depuis toujours, elle voit quelqu’un que personne d’autre ne semble apercevoir. Si au début, sa famille pensait à un ami imaginaire, il s’avère que ces visions perdurent et qu’Alwyn – l’homme que Judy est la seule à voir – ne disparaît pas. Réalité ou fiction ? Hallucinations ou fait inexplicable ? Lisa va tenter de démêler cette affaire.
Avant toute chose, il faut savoir que Melissa Bellevigne est connue sur internet comme Youtubeuse beauté. Paranoïa est son premier roman publié, et pour une première, j’ai été plutôt impressionnée. L’intrigue est vraiment sympa, le cadre sombre, mystérieux, et la fin m’a complètement ravie.
Pourtant, quelques éléments m’ont un peu fait grincer des dents. Étant moi-même dans le milieu médical, j’ai un attrait particulier avec la psychiatrie qui est un domaine qui me fascine depuis déjà quelques années. Je n’irais pas jusqu’à prétendre que je suis archi calée sur le sujet, mais il y a des choses qui m’ont un peu laissée perplexe, techniquement parlant. Au début, je n’y ai pas vraiment prêté attention. J’ai vu les termes “délires de persécution”, “schizophrénie”, des mots bien pompeux et impressionnant pour un quidam, mais qui ne s’appliquent clairement pas au cas de Judy. Je n’ai pas trop moufté au début, mais plus j’avançais, moins je comprenais ce diagnostic. Toujours est-il qu’on sent qu’il y a eu de la recherche de la part de l’auteur, mais celle-ci n’a pas été exploitée adéquatement. S’attaquer à la psychopathologie, c’est prendre le risque de tomber dans le cliché, et Melissa Bellevigne n’a pas su enjamber tous les pièges.
Les réticences que j’ai rencontrées concernaient surtout l’aspect pathologique et la relation entre Judy et Lisa peu crédible. Pour une jeune fille paranoïaque, Judy a très vite accordé sa confiance, et les ellipses multiples ont fait qu’il n’était pas possible de jauger l’évolution de leurs rapports tout le long du roman.
Ça peut paraître négatif dit comme ça, mais heureusement, j’ai vraiment accroché au reste, c’est-à-dire à tout ce qui ne concernait pas la psychiatrie. Les flash-back m’ont captivée. L’auteur nous plonge dans le passé de Judy afin de comprendre ce qui l’a amenée là. J’ai été subjuguée par le suspens et l’attente anxieuse. La jeune fille se lance à corps perdu dans une quête qui se révélera dangereuse et bien plus grande qu’elle. Son but étant de comprendre pourquoi Alwyn ne la quitte pas depuis sa plus tendre enfance, et rend sa vie si compliquée. Cette chasse à la vérité est tout simplement haletante, titillante, absorbante.
J’ai trouvé le roman bien trop court. Si l’intrigue en elle-même m’a vraiment plu, je n’ai pas pu m’attacher aux personnages comme je l’aurais voulu. Alwyn est celui qui m’a le plus charmée. Doux, diplomate, protecteur ; malgré ses rapports conflictuels avec Judy, il se montre dévoué et toujours là pour elle. Judy est dotée d’une volonté sans faille. C’est une vraie tête brûlée qui ne laisse personne lui dicter sa loi. Lisa m’a, en revanche, laissée hermétique. J’ai eu du mal à me positionner sur son implication dans l’intrigue. Peut-être parce que son rôle de psychiatre n’a pas su me convaincre comme je l’espérais.
La plume de Melissa Bellevigne est sensible, fine, affutée. Cette auteur a énormément de potentiel et je compte bien la suivre de près. C’est sûr, il y a eu des couacs, mais Melissa a réussi à me surprendre, à me faire bondir. Notamment avec la fin totalement insoupçonnée qu’elle nous a servie ! J’avais déjà lu des blogueurs se plaignant de cette fin, la trouvant trop rapide, pas suffisamment aboutie ou encore trop ouverte. N’étant pas friande des fins ouvertes, d’habitude, j’ai cependant adoré celle-ci. Elle est belle, pleine de promesses, mais nous laisse aussi avec quelques éléments auxquels on ne peut pas répondre. J’ai aimé le fait que Melissa Bellevigne nous laisse l’opportunité de choisir la fin qui nous sied. Moi, j’ai choisi la mienne, et j’en suis ravie.
En résumé, Paranoïa est un livre qui a ses défauts, mais qui ne manque pas de qualités. Pour un premier roman édité, Melissa Bellevigne semble avoir un gros potentiel, avec une plume très agréable, qui nous immerge totalement. Je regrette néanmoins les grosses lacunes concernant l’univers psychiatrique et ses troubles.
Ma chronique : http://april-the-seven.weebly.com/jeunesse---young-adult/paranoia-melissa-bellevigne
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