80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Né en 1935 dans la Loire, fils d'un métallurgiste, Georges Granger est embauché en 1951 aux aciéries Bedel à Saint-Étienne comme pilonnier puis marteleur avant d'être appelé en Algérie. À son retour dans la Loire, il adhère à la CFTC en 1962 et participe activement à la déconfessionnalisation de la CFTC en CFDT deux ans plus tard. C'est le début d'un quart de siècle d'engagement syndical, mené à l'échelon local (secrétaire général du syndicat de Saint-Étienne), régional (secrétaire général de l'Union régionale des syndicats de la métallurgie de la Loire et Haute-Loire) puis national.En 1976 en effet, il devient secrétaire national de la Fédération générale de la Métallurgie (FGM-CFDT) puis son secrétaire général trois ans plus tard en remplacement de Jacques Chérèque. Il est également membre du bureau confédéral de la CFDT de 1979 à 1985. Au cours de ses huit années à la tête de la fédération, il aura à faire face à de nombreux défis : crise de la sidérurgie, fin des Trente glorieuses, chômage de masse...Ayant démissionné de ses responsabilités syndicales en 1987, Georges Granger consacre sa reconversion professionnelle à l'accompagnement des personnes ayant perdu leur emploi, créant Mobilité et développement (M&D), société spécialisée dans le reclassement des victimes de plans sociaux, dont il fut le PDG de 1988 à 2006. À travers ce récit autobiographique, Georges Granger revient sur les grandes étapes de sa vie et expose sans langue de bois sa conception du syndicalisme et de la lutte pour l'emploi.
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