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Il s'agit d'une nouvelle édition de ce petit mais passionnant essai de l'un des plus grands historiens de l'art du xxe siècle, publié pour la première fois en 1996 dans la collection « Art et Artistes ».
Il faut regarder autour de soi pour remarquer les ombres projetées par les objets sur les surfaces environnantes, aussi bien en plein jour qu'à la lumière artificielle. Ces ombres peuvent s'estomper, mais jamais disparaître tout à fait. Sauf dans la majorité des peintures.
Les artistes se servent des ombres portées pour attirer l'attention sur l'éclairage du tableau et pour donner plus de solidité aux objets qui interceptent la lumière. Ces ombres peuvent contribuer au climat d'une peinture. Elles peuvent révéler la présence de quelqu'un ou de quelque chose en dehors de l'espace représenté. Pourtant, comme le souligne E. H. Gombrich, elles n'apparaissent que çà et là dans l'art occidental, qui a plutôt tendance à les oublier ou les éliminer.
Dans cette nouvelle édition, toutes les illustrations des plus célèbres peintures montrant des ombres sont reproduites en couleurs et dix-huit illustrations supplémentaires accompagnent la préface de Neil Mac Gregor, directeur du British Museum et l'introduction de Nicholas Penny, directeur de la National Gallery de Londres.
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