80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Lorsque odon tresse ses oeuvres, il est un vannier mystique.
Il tend des filets répétés qui piègent les regards. dans son atelier, il choisit une école de la lenteur, un refus de la hâte. il propose des labyrinthes heureux ; des pèlerinages imaginaires. il crée en méditant sur le fini et l'infini, sur l'origine de la continuité, sur chaque début de l'oeuvre et sur son développement. il invente des "mandalas", des mises en lumière de l'ordre du monde, des objets de pensée, de prière, de rêve.
Avec l'expansion de la spirale, l'oeuvre se propage et rayonne. avec modestie et patience, odon tente de représenter l'infini sous une forme finie, de donner à voir l'énergie qui est tantôt centrifuge, tantôt centripète. il tient compte du plein et des vides, de l'endroit et de l'envers, du plan et du bas-relief, des rythmes de la création.
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