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Je trouve tout à votre honneur de vous permettre un avis contraire à la majorité. Personnellement cela me donne encore plus envie de le lire. :)
''Le premier thriller du créateur de la série culte.'' The KillingDébut octobre, dans la banlieue de Copenhague, la police découvre le cadavre d'une femme amputée d'une main. À côté du corps, un petit bonhomme fabriqué à partir de marrons et d'allumettes. Chargés de l'enquête, la jeune inspectrice Naia Thulin et l'inspecteur Mark Hess découvrent vite que cette figurine est porteuse de mystérieuses empreintes : celles de la fille de Rosa Hartung, ministre des Affaires Sociales, enlevée un an plus tôt et présumée morte.Thulin et Hess explorent toutes les pistes qui leur révèleraient un lien entre la disparition de la fille de la ministre et la victime à la main coupée. Lorsqu'une autre femme est tuée, selon le même mode opératoire, ils comprennent que le cauchemar ne fait que commencer...« On retrouve dans ce roman passionnant tout le génie du scénariste de The Killing. » - Ugebladet Søndag
CAPTIVANT
Quel page-turner.
Une petite fille a disparu il y a un an, l'enquête est terminée, son assassin a avoué mais voila qu'un serial killer sème des cadavres sur son passage et le doute s'installe.
2 flics, un homme et une femme avec leurs failles et leurs désaccords vont se lancer dans cette course contre la montre.
Le système danois va en prendre pour son grade.
Les courts chapitres s'enchaînent.
C'est haletant et captivant.
Du suspense, des personnages haut en couleurs et une intrigue à la hauteur.
C'est un premier roman. Chapeau !
Cela fait un an que la fille de 12 ans de la ministre danoise des Affaires Sociales, Rosa Hartung, a disparue. Un homme a bien été arrêté, il a avoué le meurtre de la gamine mais n’a jamais révélé où se trouvait son corps. Interné en institut psychiatrique il prétend ne plus se rappeler où il a enterré Kristine Hartung. La découverte du cadavre mutilé d’une femme de la banlieue de Copenhague le jour même où Rosa Hartung reprend ses fonctions ministérielles pourrait n’avoir aucun rapport, sauf que tout près du cadavre se trouve un petit bonhomme fabriqué avec des marrons et que sur ces marrons, la police scientifique identifie une empreinte, celle de Kristine Hartung. Sur le point de changer d’affectation et affublé d’un partenaire temporaire en apparence très dilettante, l’enquêtrice Naia Thulin entame sa dernière enquête criminelle, elle n’imagine pas jusqu’où cette enquête va l’amener.
Adapté (très fidèlement) en minisérie Netflix sous le même titre, « Octobre » est un roman bien « dodu »: 130 chapitres et près de 750 pages ! Et pourtant, c’est là qu’on voit qu’on a à faire à un bon roman noir bien troussé : jamais on ne décroche. L’histoire est un peu compliquée, elle met en scène deux faits divers qui semblent n’avoir aucun rapport et pourtant, tout doucement, par petites touches et petits détails, le fil qui les relie devient de plus en plus apparent. Pourquoi les empreintes d’une gamine disparue depuis un bon moment apparaissent sur des objets relatifs à des meurtres récents de femmes qui semblent (en apparence) bien sous tout rapport ? Il faut toute la pugnacité de deux enquêteurs très mal assortis pour deviner ce lien. La première est une femme flic qui ne fait pas l’unanimité dans une équipe encore très machiste, elle veut quitter le terrain pour mieux s’occuper de sa fille, et cette enquête est la dernière avant sa mutation. Son coéquipier est un flic d’Europol en délicatesse avec l’institution européenne, il est sous le coup d’une procédure disciplinaire dont on ne sait rien et en attendant que son sort soit fixé, il végète dans la police de Copenhague. Si sa personnalité à elle est visible, et assez attachante, lui est insondable, secret, vaguement antipathique aussi. Ce sont deux enquêteurs en transit, mal aimés ‘et qui ne s’entendent pas vraiment) et en apparence bien peu motivés qui se lancent dans cette enquête protéiforme. Les thèmes soulevés ici sont des thèmes maintes fois traités par les polars scandinaves : les déviances de tout genre, les violences familiales, les perversions sadiques mal réprimées, les traumatismes d’enfance. C’est malsain, glauque même par moment, et même carrément sordides au fur et à mesure que l’o n s’approche d’un dénouement qui sera (forcément) violent. Le coup de théâtre final est totalement imprévisible, l’explication psychologique vaut ce qu’elle vaut mais dans l’ensemble, je trouve que cela tient la route et forme un ensemble assez cohérent. Facile à lire, avec assez peu de personnages, écrit dans un style efficace sans abuser des artifices du genre (cliffhangers de fin de chapitres par exemple), « Octobre » fait invariablement penser à la série « The Killing » dans sa construction (l’intrigue se concentre sur quelques jours) et la psychologie des enquêteurs. C’est normal, Soren Sveitrup est également le scénariste de cette épatante série que je conseille vivement. J’ai apprécié ce roman jusqu’à sa toute dernière phrase, lourde de sens et qui fait froid dans le dos : du polar scandinave pur sucre comme on l’aime !
Polar/Thriller
Premier coup de coeur de 2020 ... Aaaaah ce que ça fait du bien !
Quelle enquête !!! waowww ... J'ai adooooré cette histoire ;) Elle m'a mis en haleine du début à la fin ... Je ne songeais qu'à ça : pouvoir me replonger dans l'intrigue le plus vite possible ! et mon dieu la fin ^^ je n'ai pu m'empêcher de verser quelques larmes tellement c'est beau ... le dernier chapitre me dit que peut être il y aura une suite ... 1er livre de cet auteur mais s'il continue, je me hâterai de le suivre !!!
Ce livre m'a été envoyé via une box livre (tres connu) offert par ma soeur , la libraire qui a fait ce choix a laissé un mot : "Je vous propose de découvrir ce thriller captivant (le suspense est si bien mené qu'il m'a oté le sommeil !) . Vous allez partir entre ces pages jusqu'à Copenhague ou une affaire de meurtre ..." . Lucille
Chere Lucille , Je vous réponds via cette critique :
Oui je suis bien partie à Copenhague et avec tous ces personnages, nombreux je m'y perdais parfois avec ces prénoms et noms venus d' un autre pays , oui il y a eu une affaire de meurtre avec de mystérieux petit bonhomme de marrons avec pour jeune inspectrice Naia Thulin et l'inspecteur Mark Hess et au centre de cette histoire Rosa . Mais contrairement à vous, je n'ai pas trouvé le livre captivant certes l'histoire est bien mené et c'est bien écrit, mais le gros point noir de ce livre et qu'il aurait pu être réduit de moitié , des détails inutiles , j'ai eu l'impression de lire un scenario , il faut attendre de dépasser 600 pages avant qu'enfin, il y est de l'action, que tout s'accelere, mais sous quels conditions ... que Rosa soudainement se rappelle...Qu'on me sorte un tueur du chapeau (un plus, car je n'ai pas deviné qui s'était) et que la fin se termine avec un Happy end.
Après recherche je découvre que Soren Sveistrup est un scénariste de prime abord ce qui peut expliquer la tournure du livre , je ne sais pas ce que vaut sa serie, mais concernant son livre le suspense m'a plus donné envie de dormir qu'ôter le sommeil ! "
Je trouve tout à votre honneur de vous permettre un avis contraire à la majorité. Personnellement cela me donne encore plus envie de le lire. :)
J’ai vu passer de nombreuses chroniques, toutes alléchantes, sur ce roman danois très médiatisé puisque Soren Sveistrup est le créateur de la série à succès The Killing. Il signe là son premier roman, un thriller d’envergure et je peux vous dire tout de suite que je n’avais jamais lu de roman nordique aussi prenant depuis Millenium.
Dans la banlieue de Copenhague, au début du mois d’Octobre, le cadavre de Laura Kjaer, une mère de famille de 37 ans est découvert dans un square près de chez elle: la jeune femme a été amputée d’une main. Près de son corps se trouve un objet insolite : un petit bonhomme fabriqué à partir de marrons et d’allumettes. Chargés de l’enquête, la jeune inspectrice Naia Thulin et l’inspecteur Mark Hess découvrent rapidement que cette statuette porte les empreintes de la fille de Rosa Hartung, ministre des Affaires Sociales, enlevée un an plus tôt et présumée morte. Son ravisseur, un récidiviste nommé Linus Bekker, croupit depuis au fond d’une cellule mais il n’a jamais révélé le lieu où il aurait enterré la jeune victime. Quel est le lien entre la disparition de la fille de la ministre et la victime à la main coupée ? Y a t-il un mince espoir pour que Kristin Hartung soit encore vivante? Lorsqu’une autre jeune femme est tuée, selon le même mode opératoire, les inspecteurs Thulin et Hess comprennent que le cauchemar ne fait que commencer.
J’ai compris dès le chapitre d’ouverture que j’allais être accro à l’atmosphère de ce roman : retour dans le passé, le 31 octobre 1989, où une famille est découverte massacrée dans une ferme isolée. Evènement d’une rare violence dans un endroit si reculé, ce massacre interpelle et questionne : de quel crime cette famille est-elle coupable pour mériter un tel sort? Ce massacre est donc lié à ce qu’il se passe de nos jours à Copenhague avec la découverte de cadavres de jeunes femmes mutilées… Le lecteur est rapidement entraîné dans cette enquête vertigineuse menée par deux inspecteurs aux caractères bien trempés : Naia Thulin s’ennuie ferme dans un service où le manque de moyen est flagrant et aspire à intégrer le NC3, le service de cybercriminalité de la police danoise; Mark Hess quant à lui est fraichement débarqué de La Haye où il a été démis de ses fonctions à Europol, il est plus préoccupé à remettre en état un appartement qu’il souhaite vendre rapidement, plutôt que par l’enquête qu’il suit au départ en dilettante, mais son esprit intuitif va les aiguiller vers une piste inattendue. J’ai beaucoup aimé ce personnage très nuancé, à la force de caractère sans pareille.
L’intrigue aborde le sujet des maltraitances et abus sur enfants, par ailleurs marqueur politique de la très populaire Rosa Hartung, ministre des Affaires Sociales dont la fille Kristin a été enlevée par un prédateur. Sujet sordide et profond qui témoigne d’une certaine réalité. Ce roman est complet tant sur le plan de l’intrigue, riche en rebondissements et intense par les sujets évoqués, que sur le développement accordé aux multiples personnages.
Suspense, noirceur humaine, action, intrigue mêlant deux époques et personnages brillamment développés: un thriller comme je les aime ! Parfait ! Et bonne surprise, la série arrive cet automne sur Netflix…
Ce livre me faisait de l’œil depuis un moment et il arrivé dans ma PAL et je me suis jeté dessus...
Un thriller bluffant, écrit par l'auteur de la série THE KILLING.
Un suspense qui tient ses promesses jusqu'au bout avec une série de meurtres avec des corps mutilés et laissé a coté d'eux ce petit bonhomme en marrons.
Une enquête effectuée par deux policiers qui vont tenter de découvrir qui est l'auteur de ces crimes, pleins d'indices vont les mener a des pistes qui ne se révéleront pas toujours concluantes et qui nous embarque avec eux dans une quête permanente de la vérité.
Beaucoup de personnages vont se dessiner et j'avoue que j'ai eu quelquefois un peu de mal à m'y retrouver.
On est plongés dans cette histoire ou les rebondissements vont bon train.
Inutile d'en raconter plus vu le nombre de critiques positives et ou tout est déjà mis a l'honneur.
Une chose est sure jusqu’à la fin il nous tient en haleine
C'est sur une scène de crime de la banlieue de Copenhague, que l'on retrouve une étrange figurine de marrons. Les inspecteurs chargés de l'affaire n'en sont qu'au balbutiement de leurs découvertes quand des empreintes réveille une disparition classée...
L'auteur est à la base créateur de la série "The Killing", si vous connaissez. Peu familiarisée avec le polar nordique, j'aie eue, je dois bien l'avouer, beaucoup de mal à accrocher.
J'ai trouvé l'intrigue lente et sinueuse, les personnages plats. Le lien entre les différentes affaires est difficile à établir et on prend son temps scrupuleusement pour ne négliger aucune piste. On comprend en revanche très vite que le système de protection à l'enfance est dans le collimateur du tueur.
L'écriture manque de dynamisme et on a le sentiment de faire un peu du sur place. L'auteur joue avec nos nerfs, parce que oui, malgré tout, on veut savoir. Les ramifications sont aussi multiples que noueuses. Rajouté à cela, il y a des conflits d'intérêt qui ne sont pas fait pour arranger les choses.
Mais bon, vaille que vaille, on progresse même si c'est dans l'aveuglement. On oscille en permanence entre fausses pistes et questionnements. C'est délibérément complexe, millimétré et tortueux. Ce thriller de presque 700 pages nous malmène pour un final que l'on n'avait pas vu venir et qui colle parfaitement.
Un roman à réserver peut-être à l'automne, pour l'ambiance, et quand on a vraiment envie de prendre son temps.
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@slabont : Merci mais c'est souvent le cas ;p ! Mais vous avez bien raison, je lis un livre parce que j'en ai envie pas parce que les avis sont bons ou mauvais, j'attends le votre une fois achevé. Bonne lecture