Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Quand Nietzsche pense à l'Europe, à quoi pense-t-il ? Certainement pas au mépris de ce qui n'est pas européen. Ce que Nietzsche aime dans l'Europe, c'est avant tout sa diversité. Or, celle-ci lui semble alors menacée par les nationalismes étroits, nombrilistes, qu'il oppose aux grandes entreprises des géants de l'histoire, tel Napoléon.
Le deuxième danger qui menace l'Europe, c'est la société de masse dite démocratique. Ces dangers nous font dévaler la pente du nihilisme, consistant à ne plus nous hisser vers le haut grâce à un imaginaire qui nous fait défaut après la mort de Dieu. Pour s'extraire de ce gouffre, une grande politique - donc une politique de la grandeur - est nécessaire : une politique qui élève, qui montre des exemples, qui ennoblit, qui créé de l'art, qui tranche dans les médiocrités avec le glaive acéré de la lucidité. Loin des slogans simplistes sinon menteurs, une mise au point était nécessaire.
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