Rendez-vous le mercredi 16 octobre à 19h sur le site « Un endroit où aller »
Michel Briat est un vrai peintre.
Il vit pour peindre, la musique est sa plus fidèle compagne. Parfois il peint pour vivre. Un jour son ex-femme a vendu à un brocanteur sa collection de disques pour changer sa serrure. La perte de ses vinyles le rendit inconsolable. Mais il fit ce qu'on attend d'un peintre : Il peignit. Sur un carré noir de trente centimètres de côté, il fit réapparaître les images qui l'avaient marqué : La femme noire magique de Santana, les dragons de Yes, les pin-up de Roxy Music, les papiers collés des Sex Pistols.
Il inventa ainsi des histoires, une pour chaque vinyle perdu. Ce n'était pas difficile : il les avait vécues. " My lost vinyls " mêle chroniques nostalgiques et peintures acryliques qui ont la musique comme intersection commune. La fin des seventies, les premiers concerts, deuxième dépucelage et les derniers disques noirs achetés à la FNAC. On croise Led Zeppelin, Robert Smith, la prof de musique du lycée de Montgeron et Delphine D.
L'amante pornographique. On prend les trains de la banlieue Sud-Est, avec Mick et Gerry, Franck Zappa, des gentils dealers de shit, le père mélomane, une soeur sweet sixteen. Parfois, l'image prend le dessus et laisse l'auteur sans voix. Parfois l'histoire fait oublier la pochette. Mais la musique se fait toujours entendre.
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