Avant de préparer le premier tome sur Les Grandes Affaires Criminelles de la Meuse, Alain Fisnot n'aurait pas imaginé qu'il ait pu se dérouler autant de crimes dans son département. En présentant ce second tome, l'auteur a voulu y raconter des crimes différents... Différents par les moyens utilisés, ou par les mobiles. Il a également été saisi par le nombre d'infanticides : « Sur plus de deux cents crimes constatés en Meuse aux XIXe et XXe siècles, j'ai constaté que trente pour cent sont des infanticides et que sur le total, environ soixante pour cent des meurtres ont été perpétrés dans le giron familial. Le reste concerne, pour la majorité, l'action d'une personne proche, rarement un inconnu ou un individu de passage. Chacun en Meuse connaît quelqu'un qui a entendu parler d'un crime... Je l'ai compris en en parlant autour de moi. » Du nord au sud, d'est en ouest, la Meuse a été secouée par de terribles affaires, livrées ici avec l'émotion qui caractérise l'auteur...
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