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Il y a quinze ans, mers et océans ont disparu. L'eau s'est évaporée, tous les animaux marins sont morts.
Depuis, des marées fantômes déferlent sur le monde et charrient des spectres avides de vengeance. Requins, dauphins, baleines..., arrachent l'âme des hommes et la dévorent. Seuls les exorcistes, protecteurs de l'humanité, peuvent les détruire.
Oural est l'un d'eux. Il estvénéré par les habitants de son bastion qu'il protège depuis la catastrophe. Jusqu'au jour où Bengale, un capitaine pirate tourmenté, le capture à bord de son vaisseau fantôme.
Commence alors un voyage forcé à travers les mers mortes... De marée en marée, Oural apprend malgré lui à connaître son geôlier et l'objectif de ce dangereux périple. Et si Bengale était finalement la clé de leur salut à tous ?
Le dieu du random - celui qu'on invoqué à jet de dé pour sortir des livres poussiéreux de sa pile à lire quand on manque d'inspiration ou qu'on est en panne de lecture - m'a amené en mers mortes, et si le voyage ne fut pas de tout repos, la pêche fut pourtant bonne… Enfin, je veux dire, la pioche !
Sachant que c'est un livre orienté jeune adulte, le récit - autant de la fantasy (voire du conte), que de la science-fiction - tient la route avec une fin douce-amère en même pas 300 pages. Personnages crédibles, et une imagination se rapprochant des studios Ghibli, ou d'autres créations japonaises. Probablement pour cela que mon cinéma intérieur a vraiment imagé le tout avec des personnages et une ambiance aquarellés. Pour finir, l'histoire parvient à un équilibre satisfaisant pour pousser à la réflexion, et potentiellement à la prise de conscience.
On est dans un univers savamment construit, et j'ai nettement préféré cette histoire, là où j'avais nettement moins accroché avec “La mort du temps” à l'époque. L'autrice semble continuer sur sa lancée en abordant l'expansion des déserts, via le désert des couleurs. Cela m'a instantanément fait penser à l'histoire sans fin de par son titre et résumé, même si l'ambiance sera très certainement différente. Tout cela pour dire que je me pencherai sur cet autre roman avec plaisir avant que ne sonne une fin du monde déjà bien amorcée.
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« Mers mortes» a été une lecture coup de poing. Un livre qui amène à beaucoup de réflexion. J'ai aimé tous les messages sur l'écologie et la maltraitance animale qui sont les messages principaux du roman. Une lecture terrifiante, bouleversante, accablante et rude. Ce roman ne conviendra pas à tout le monde en particulier à cause de la dureté de certaines scènes. Ce qui est sûr, c'est qu'on ne ressort pas indemne de cette lecture. Elle prend aux tripes et amène à la réflexion.
Les + :
* L'univers est juste dingue. Un monde post-apocalyptique où toutes sources d'eau ont disparu. Des marées fantômes possèdent à leur bord les âmes torturées, des animaux marins venus se venger et manger les âmes humaines se déversent sur les survivants.
* La quête d’Oural, Bengale et son équipage est immersive et passionnante. Beaucoup de péripéties attendent les protagonistes, ce qui les pousse dans leurs retranchements.
* Les personnages sont extrêmement bien travaillés. Oural et Bengale sont très différents. Oural est un homme généreux, doux, intelligent, brave, posé et sensible. Bengale est quant à lui froid, destructeur, impulsif et mauvais. Leur relation est la représentation du syndrome de Stockholm dans toute sa splendeur.
* La relation entre Oural et le fantôme de la dauphine Trilla était terriblement touchante et représente bien la relation entre un humain et un animal traumatisé. Je me suis retrouvée dans cette relation.
* La plume de Aurélie Wellenstein est magnifique. Elle a une plume très poétique, douce, travaillée, fluide, touchante et immersive.
Les – :
* Quelques petites longueurs et passages un peu redondants.
* Quelques passages assez durs, bien qu'ils soient réalistes, peuvent choquer les plus sensibles.
Je suis totalement en phase avec l'analyse de Marie Kacher que l'on peut lire ci-après dans les divers avis donnés sur ce roman qui présente de manière très percutante et originale la question du drame écologique puisque nous le percevons du côté des animaux morts et des mers disparues.
Le genre fantasy ne m'est pas habituel mais j'ai été emportée par les marées et les personnages. Un roman très visuel où les images imprègnent longtemps le lecteur.
Une belle surprise que la découverte de cette autrice.
Un roman post-apocalyptique captivant dans un monde ravagé, à bout de souffle. Un capitaine et son équipage prêt à tout pour parvenir à leur fin, même au pire. Un exorciste et sa dauphine fantôme repoussant les limites de la malédiction à chaque nouvelle marée morte. Un espoir se dessine, mais de nombreux sacrifices seront demandés en échange… Et surtout, un livre porteur d’un message essentiel pour notre monde !
En savoir plus sur : https://livraisonslitteraires.wordpress.com/2020/06/06/mers-mortes-plib2020/
Une nouvelle fois, l'autrice nous plonge dans un univers assez sombre, et ne lésine pas sur les moments parfois durs mais nécessaires pour démontrer la violence et la dureté de ce monde en train de dépérir. C'est parfois cru et sanglant, tout comme j'avais pu le voir dans son roman "Le Dieu Oiseau".
J'ai aimé l'intrigue, je l'ai trouvé originale et prenante. Je dois avouer que j'ai à un moment eu peur que ce soit redondant avec les marées, mais l'autrice mène son histoire en se renouvelant à chaque fois, évitant ainsi l'écueil de l'ennui pour le lecteur.
On a également une certaine originalité pour l'un des personnages lors d'une révélation le concernant. C'était étrange mais en même temps, donnait un intérêt supplémentaire pour l'univers.
On ressent clairement le pan écologique qui est traité par le biais de ce roman. On se rend compte quelles pourraient être les conséquences du réchauffement climatique dans un futur plus lointain. Même s'il y a un côté fantastique ajouté, cela permet de voir cet aspect, mais aussi de voir ce que les hommes infligent aux animaux. C'est particulièrement ce point que l'on ressent, par des animaux qui se vengent de la violence et la douleur qu'ils ont pu subir, d'autant plus que l'on a quelques passages on se trouve à la place des animaux lors de leur mort causée par les hommes (pollution, surpêche, braconnage, ...).
Je ne me suis pas vraiment attachée aux personnages, mais il était intéressant de les suivre. Je ne saurais trop expliquer, mais c'est comme s'ils ne dépassaient pas le cadre des lignes du livre, qu'il n'avait pas une construction me permettant de les imaginer et de m'attacher d'autant plus.
J'ai apprécié voir les relations que l'autrice a créé entre les humains et les animaux, montrant par le même temps les problèmes écologiques de notre réalité.
J'ai également bien aimé comment les animaux prenaient part au récit, particulièrement sur leur ensemble. J'ai aussi franchement apprécié la fin et la manière dont elle était construite et écrite, ainsi que la poésie qui s'en dégageait. Je crois que c'est d'ailleurs le passage que j'ai préféré, j'ai beaucoup aimé la description du moment, très visuel et poétique.
Pour conclure, malgré des personnages auxquels je ne me suis pas attachée, l'autrice a su m'emmener dans son univers le temps de quelques heures, avec une certaine poésie malgré la violence au premier regard, tout en nous faisant poser un regard sur notre propre réalité.
Ce n’est plus un secret pour personne : je suis une grande adepte de la relecture. Régulièrement, l’envie me prend de me replonger dans une histoire qui m’a fait vibrer il y a quelques mois ou années de cela, de partir en quête de détails qui m’auraient échappé jusque-là, ou tout simplement de retrouver des personnages-chouchous comme on retrouve de vieux amis … Mais jamais jusqu‘à présent je n’avais ressenti le besoin viscéral et impérieux de recommencer un livre aussitôt après avoir tourné la dernière page, de relire plusieurs fois d’affilée certains passages éblouissants … C’est la toute première fois que j’éprouve tant de difficultés à m’extirper d’une histoire, la toute première fois que quitter des personnages est aussi douloureux …
Souillés par les rejets d’hydrocarbures et autres résidus chimiques, envahis par les sacs plastiques et autres déchets d’une humanité toujours plus meurtrière, asséchés par le réchauffement climatique, les mers et les océans ont rendu leur dernier souffle. Décimés par la surpêche et par la pollution de leur milieu de vie, victimes de la folie destructrice de l’humanité, les animaux marins se sont éteint un par un. Désormais, ce sont les hommes qui tremblent, tandis que se lèvent régulièrement les marées fantômes, habitées par les esprits vengeurs de ses milliards de poissons, requins, méduses, dauphins, baleines, pieuvres et autres créatures qui n’attendent qu’une chose : arracher les âmes des survivants, décider l’humanité en sursit. Oural, exorciste, veille farouchement sur les habitants de son bastion, affrontant marée après marée ces terribles mers mortes … Jusqu’au jour où il est kidnappé par Bengale, pirate de son état, qui se considère comme le dernier espoir de cette planète à bout de souffle …
Quiconque a déjà lu un roman d’Aurélie Wellenstein sait à quoi s’en tenir : âmes sensibles, abstenez-vous. C’est d’autant plus vrai qu’ici, elle nous plonge non pas dans un monde post-apocalyptique imaginaire, mais bien sur notre bonne vieille planète Terre, à l’agonie à cause de l’avidité et de la négligence de l’homme. Elle nous dépeint un futur cauchemardesque, un futur où les océans se sont taris, où la pluie ne tombe plus, où l’eau vint à manquer. Un futur où l’humanité paye à prix fort nos propres erreurs : nous avons « jeté nos pesticides à l'eau, nos fumées dans l'air, conduit trois voitures, vidé les mines, mangé des fraises du bout du monde, voyagé en tous sens, éclairé les nuits, chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, mouillé le désert, acidifié la pluie », pour reprendre les mots de Fred Vargas, sans jamais réfléchir aux conséquences de nos actes, sans jamais avoir fait le moindre effort pour réduire notre impact écologique. Parce que c’est tellement plus simple de fermer les yeux ou de se hausser les épaules en se disant que « c’est trop tard, de toute façon, je peux rien faire », et de continuer à surconsommer allégrement, plutôt que de se priver d’un peu de notre confort.
Dans Mers mortes comme dans ses autres romans, Aurélie Wellenstein n’épargne ni ses personnages ni ses lecteurs : nuit après nuit, dans son sommeil, Oural revit l’agonie d’une tortue ayant avalé un sac plastique en pensant attraper un petit crustacé, d’un requin à qui on a coupé aileron et nageoires avant de le relâcher dans l’océan, d’un dauphin sauvagement poignardé par des hommes ivres de rire, d’un phoque cerné par une marée noire qui l’asphyxie … Et le lecteur cauchemarde avec lui. Ces passages sont d’une horreur sans nom, la monstruosité de l’homme qui se prétend civilisé et qui massacre tout sur son passage. De l’homme qui tue des baleines pour fabriquer des cosmétiques. De l’homme qui ne respecte rien, qui se croit tout permis et tout puissant. Au début, à l’instar d’Oural, nous voyons dans ces spectres marins des monstres qui dévastent tout sur leur passage, indifférents à la souffrance qu’ils engendrent … Mais rapidement, nous comprenons que les véritables monstres, dans l’histoire, ce sont les hommes. Qui dévastent tout sur leur passage, indifférents à la souffrance qu’ils engendrent. C’est un thème récurrent chez Aurélie Wellenstein : où commence la bestialité, où s’arrête l’humanité ?
Un roman sombre, dur, glaçant, qui ne « donne pas une image très reluisante de l’humanité », songe Oural … Au contact des pirates, notre jeune exorciste, jusqu’alors relativement préservé du fait de son statut, prend enfin pleinement conscience de la situation désespérée dans laquelle se trouve le monde. Lui qui se plaignait de sa morne existence, du fardeau de la responsabilité qui pesait sur ses épaules, voit toutes ses certitudes s’effondrer une à une. Oural n’a rien d’un héros : il a vécu dans un cocon, il a été habitué aux révérences et à la dévotion de ses sujets, il se morfond sans cesse. Il est plein de bonnes intentions, il est intimement convaincu d’agir au mieux, mais il va progressivement se rendre compte que les choses sont rarement toutes noires ou toutes blanches, que tout est au contraire un interminable camaïeu de gris. C’est un protagoniste incroyablement attachant, parce que profondément humain : il nous ressemble, il est proche de nous, il fait des erreurs, il agit contre ses principes par pur instinct de survie, et même si ça coute de l’admettre, on se doute qu’on en ferait autant à sa place.
Un autre personnage, secondaire du point de vue de la narration (celle-ci étant centrée sur Oural), mais indéniablement principal du point de vue de l’intrigue, est à mes yeux le personnage le plus intéressant de tout le roman. Bengale non plus n’a rien du héros sans tâche auxquels les épopées de fantasy nous ont habitués, mais je le considère toutefois comme le héros de cette histoire. Car j’ai toujours associé l’idée de « héros » à celui de « fardeau », et Bengale est indéniablement celui qui porte le plus lourd fardeau dans ce récit. Bengale a fait un choix, un choix terrible mais qu’il considère être celui qu’il fallait prendre. Derrière son arrogance et sa nonchalance, derrière son autorité et sa prestance, se cache finalement un homme torturé par cette décision, un homme hanté par toutes les morts dont il est l’unique responsable, directement ou indirectement, un homme qui accomplie sa sordide mission malgré la culpabilité toujours plus forte parce qu’il ne voit pas d’autre possibilité, parce qu’il n’est plus temps de tergiverser, parce que la vie est à deux doigts de disparaitre totalement de la surface de la Terre et qu’il ne peut pas rester sans rien faire. Il a pris ses responsabilités, même si cela signifie répandre la mort sur son passage et vivre un éternel tourment intérieur. J’ai beaucoup d’admiration pour lui, car je ne sais honnêtement pas si je serai capable de sacrifier ma bonne conscience au profit de l’humanité … si je serai capable de me salir les mains comme il le fait pour servir une cause qui me dépasse. Certains verront sans doute dans ce personnage un simple meurtrier illuminé, mais je préfère quant à moi le considérer comme le véritable héros de cette sombre histoire …
En bref, vous l’aurez bien compris, avec ce roman, Aurélie Wellenstein ne se contente pas de nous raconter une histoire de piraterie post-apocalyptico-fantastique, même si on peut tout à fait s’arrêter à cette première grille de lecture purement « romanesque ». A travers ce récit, elle lance un message d’alerte, elle se fait le porte-parole de ces milliards d’animaux marins morts à cause de l’homme, que ce soit du fait de la pêche intensive ou de celui de la pollution des océans ou du réchauffement climatique. A travers ces personnages, elle interroge la question de l’humanité, de la fragilité de cette humanité – à comprendre à la fois comme « l’ensemble des humains » et comme « nature humaine » –, la question des responsabilités et des fardeaux … Elle met sa magnifique plume au service de ce message, et offre à son lectorat un roman coup-de-poing, percutant, foudroyant, effrayant … mais pour ma part aussi, un roman coup-de-cœur, captivant, haletant, palpitant. A lire, à relire et à faire lire !
https://lesmotsetaientlivres.blogspot.com/2019/03/mers-mortes-aurelie-wellenstein.html
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--- Ce livre que j’attendais ---
Après Le Roi des Fauves et Le Dieu oiseau, deux one-shot que j’avais beaucoup appréciés, j’étais impatiente de découvrir le dernier Aurélie Wellenstein. Je remercie donc les éditions Scrineo pour cet envoi.
Avec Mers mortes, Aurélie Wellenstein s’éloigne de la fantasy afin de nous proposer un mélange atypique de post-apocalyptique et de fantastique. Comme à son habitude, elle porte une idée originale jusqu’à son apogée, ici celle de marées fantômes par lesquelles les animaux marins, autrefois victimes des agissements de l’homme, reviennent se venger. Et rien que le pitch me donnait déjà envie, pas vous ?
--- Encore une fois, Aurélie Wellenstein frappe fort ---
En débutant ce one-shot, j’avais mis la barre très haut. Et si je n’ai pas été déçue, cette lecture a été très, très dure. Certes, je m’y attendais – après tout, c’est du Aurélie Wellenstein. Or, celle-ci ne fait jamais dans la dentelle. En fait, son style s’apparente davantage à un boulet de canon que l’on prend en pleine face. Et ça marche ! Parfois, un peu trop bien même.
Pour tout vous dire, je ne supporte pas la souffrance animale, y compris dans des oeuvres de fiction. C’est d’ailleurs ce qui m’empêche de terminer la trilogie de L’empire brisé, mais c’est un autre sujet. Bref, j’ai volontairement sauté des passages dans Mers mortes, car j’étais incapable de les endurer. Je déconseille donc vivement ce roman aux âmes sensibles.
--- Entre héroïsme et piraterie ---
Dans ses écrits, l’auteure a toujours développé avec finesse la psychologie de ses personnages. Mers mortes ne déroge pas à la règle. Les protagonistes ainsi créés sont pleins de contradictions, de défauts, de vices… et de bonté !
Depuis tout petit, Oural est considéré – et se considère ! – comme un héros, car il est le seul capable de protéger les siens contre les marées hautes. Sa nature d’exorciste est son bien le plus précieux, celui-là même sur lequel il a fondé son identité. Pourtant, un pirate au charisme incroyable va faire vaciller ses certitudes et ce, contre son gré. Il s’agit bien entendu de Bengale.
Pour être honnête avec vous, je ne l’aimais pas beaucoup au début. Obnubilé par sa mission, le pirate ne recule devant aucun crime : enlèvement, séquestration, meurtre, etc. Dès lors, comment s’attacher à lui ? Eh bien, Aurélie Wellenstein a relevé ce défi, car elle est progressivement parvenue à nous le rendre humain. Comment ? En rappelant que ses actes s’inscrivent dans un monde où la survie est la règle d’or de chacun, où les notions de bien et de mal se confondent.
Je dois admettre, néanmoins, que la relation entre amour et haine de nos deux héros m’a déstabilisée. En vérité, je n’ai pas compris la fascination mêlée de répulsion qu’ils éprouvent l’un pour l’autre. Peut-être aurait-il fallu davantage de pages afin de creuser cet aspect de l’histoire, mais le rendu aurait été certainement moins dynamique. Et c’est justement ce qui m’amène au point suivant…
--- Un véritable page-turner ---
J’ai craint, en lisant les premiers chapitres, que les scènes dédiées aux marées hautes se répètent inlassablement. Et, en un sens, ce fut le cas, puisque le rôle d’Oural, tout au long du livre, est d’affronter les monstres marins qu’elles dissimulent. Toutefois, Aurélie Wellenstein a su enrichir son intrigue par le biais de mystères, de rebondissements et de révélations. Franchement, chapeau !
C’est donc très rapidement que je suis arrivée au bout de Mers mortes. Et, comme chaque fois, la fin fut brutale, inattendue. Suis-je réellement en accord avec ce dénouement ? Je ne le sais toujours pas, mais c’est précisément pour cette raison que les romans de cette auteure me restent en mémoire.
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