80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La célébrité de la Danse macabre a suscité de nombreuses oeuvres et de grands poètes et écrivains ont repris le thème dans leurs ouvrages, Théophile Gautier, Flaubert, Baudelaire, Goethe, Heinrich Heine et Schiller par exemple, ainsi que des anonymes. Apparaissent alors de nouveaux personnages, le Juif errant, Satan, Faust, Don Juan... S'ennuyant dans leurs sépulcres et quittant leurs «?noirs tombeaux?», leurs «?caveaux humides?», les défunts dansent une carole au son des rebecs, des psaltérions, des lyres ou de luths faits d'ossements, entraînant les vivants dans une ronde folle qui n'est pas sans rappeler celle des danseurs de Kolbigkl, damnés pour avoir dansé dans une église selon une légende médiévale.Cette anthologie fait revivre et transmet un patrimoine séculaire largement tombé dans l'oubli, l'époque contemporaine ayant bien d'autres soucis. Pourtant, n'est-il pas réconfortant de constater qu'il y a longtemps les défunts se préoccupaient du sort des vivants, venaient les conseiller et même les défendre?? Il est, certes, des morts dangereux, mais ils ne sont heureusement pas légions. Que par leurs messages enténébrés ces textes charment le lecteur et piquent sa curiosité?!Anthologie de trente ballades, poèmes et nouvelles autour des Danses macabres dans la littérature du dix-neuvième siècle. De 1813 à 1899, textes de Goethe, Théophile Gautier, Jean Richepin, Charles Rabou, Jean Lorrain, E.-L. de Lamothe-Langon, Gérard de Nerval, Charles Baudelaire et quelques autres, dont trois textes inédits provenant d'un manuscrit anonyme du dix-neuvième siècle.Edition établie par Florian Balduc, présentée par Claude Lecouteux.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année